Pourquoi mesurer le succès d'une mission économique (comme celle de Jean Charest en Chine) au nombre de contrats signés là-bas. C'est bien utopique. Il faut y voir un travail de terrain, le tissage de relations, etc.
Le Devoir titrait justement le 3 sept dernier: Les retombées viendront plus tard. Ici.
Une petite citation qui illustre justement mon propos:
De fait, la Chine a ses particularités. C'est un marché immense, en pleine expansion, qu'il faut entretenir souvent et longtemps pour espérer y faire de bonnes affaires.
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