En vrac, quelques trucs intéressants que j'ai vu, lu, entendu à gauche et à droite.:
Louis-Hippolyte Lafontaine et Robert Baldwin, de John Saul. Ici.
La guerre souterraine, Sous terre on se bat aussi (sur les tunnels-refuges de la guerre du Viet-Nam) de Jérôme et Laurent Triolet. Ici.
Un billet d'avion pour l'Afrique, de Maya Angelou. Ici.
Le sermon aux poissons, de Patrice Lessard. Ici.
L'oeuvre de Emmanuel Carrère, très populaire ces temps-ci.
Le dernier testament de Ben Zion Avrohom, de James Fray. Ici.
Une vue de l'intérieur sur mon petit calepin noir où je note des lectures, quelques impressions, des trouvailles, des remarques, des idées, des choses que j'aime, etc. Je tweet en quelque sorte mais mon propos a rarement besoin d'être en direct. Ne cherchez pas un lieu commun... je parle de n'importe quoi.
dimanche 27 novembre 2011
Dans mon iPod
C'est un monde, de Fred Pellerin. Les textes sont dans lui, contrairement à son dernier album qui n'en contenait que 2.
J'aime la voix, le ton, les paroles, la mélodie. Un très beau texte. Comme pour ses contes, on l'écoute nous raconter ses histoires.
J'aime la voix, le ton, les paroles, la mélodie. Un très beau texte. Comme pour ses contes, on l'écoute nous raconter ses histoires.
dimanche 13 novembre 2011
Ma musique en nuage
Wow! J'adore.
Je cherchais à installer iCloud pour partager ma musique iTunes entre mes 2 laptops. Sauf que... il faut Windows Vista ou 7. Oups. En plus, ça ne permettait pas de la partager sur nos 2 cellulaires qui sont sous Android.
J'ai trouvé la solution quelque part dans un magazine. mSpot. J'ai droit à 5Gb gratuit (environ 4000 chansons) que je peux lire de n'importe lequel de mes ordinateurs et à partir de nos 2 cellulaires. À condition d'être relié à Internet il va sans dire. J'adore.
Devrais-je tout de même garder une copie de mes chansons sur mon disque dur externe? Pas certain mais on dirait que j'ai peur de m'en débarasser. N'allons pas trop rapidement. Faisons-donc un petit back-up au cas où.
Je cherchais à installer iCloud pour partager ma musique iTunes entre mes 2 laptops. Sauf que... il faut Windows Vista ou 7. Oups. En plus, ça ne permettait pas de la partager sur nos 2 cellulaires qui sont sous Android.
J'ai trouvé la solution quelque part dans un magazine. mSpot. J'ai droit à 5Gb gratuit (environ 4000 chansons) que je peux lire de n'importe lequel de mes ordinateurs et à partir de nos 2 cellulaires. À condition d'être relié à Internet il va sans dire. J'adore.
Devrais-je tout de même garder une copie de mes chansons sur mon disque dur externe? Pas certain mais on dirait que j'ai peur de m'en débarasser. N'allons pas trop rapidement. Faisons-donc un petit back-up au cas où.
Garder la tête froide et prendre son temps
Je suis d'accord avec le point de vue d'André Pratte sur son blogue de La Presse (concernant le peu de nouvelles que l'on a jusqu'ici de la juge Charbonneau). Prenez votre temps Mme la juge. Le texte est ici.
Enfin une voix qui s'élève pour dire que tout n'est pas toujours pressante. Des fois, un silence vaut mieux que de parler pour rien. Et quant à moi, ce silence est gage de préparation.
Enfin une voix qui s'élève pour dire que tout n'est pas toujours pressante. Des fois, un silence vaut mieux que de parler pour rien. Et quant à moi, ce silence est gage de préparation.
À lire... parce qu'on se paie la tête de Chavez
Dans un avion pour Caracas de Charles Dantzig.
Voici la description qu'en fait l'auteur sur le site de la maison d'édition. Ici. J'aime bien cette phrase en particulier: C'est un livre sur le populisme qui monte sur le monde comme une marée.
Voici la description qu'en fait l'auteur sur le site de la maison d'édition. Ici. J'aime bien cette phrase en particulier: C'est un livre sur le populisme qui monte sur le monde comme une marée.
À lire
Des vies d'oiseaux, de Véronique Ovaldé. C'est Nathalie Collard qui en parlé dans La Presse, comme étant un de ses coups de coeur. Voici l'extrait de son texte qui m'a attiré.:
"J'ai tellement aimé que j'ai lu tous ses romans, qui se déroulent toujours en Amérique latine alors qu'elle n'y a jamais mis les pieds."
"J'ai tellement aimé que j'ai lu tous ses romans, qui se déroulent toujours en Amérique latine alors qu'elle n'y a jamais mis les pieds."
À lire
J'ai lu une chronique récemment dans L'actualité (sept 2011) sur le livre Le juste milieu de Annabel Lyon.
Ça raconte le lien Aristote-Alexandre le grand. Prémisse intéressante.
Ça raconte le lien Aristote-Alexandre le grand. Prémisse intéressante.
Vingt romans québécois à sauver de l'oubli
Titre d'un texte paru dans La Presse d'hier, ici.
Je fais ma part. Je m'engage à tous les lire. Et en conserver une copie, autant que faire se peut. Quelqu'un me suit?
Je fais ma part. Je m'engage à tous les lire. Et en conserver une copie, autant que faire se peut. Quelqu'un me suit?
Mandela et De Klerk
Grâce aux bons soins d'un ami, je peux enfin visualiser le film Mandela - De Klerk, que je ne trouvais pas nul part. Paraît que ça raconte bien le fil des évènements.
À lire
J'ai lu quelques articles sur Les chroniques de Jérusalem, bédé de Guy Delisle qui raconte une année passée là-bas. Bien envie de la lire, et de l'avoir dans ma bibliothèque, parce qu'avouons que le genre est assez spécial.
Un inédit de Gil Courtemanche
Un texte inédit de Gil Courtemanche publié dans Le Devoir d'hier. Ici. J'adorais les textes de cet auteur-chroniqueur-érudit... je ne sais comment le nommé. Il est malheureusement décédé.
Un receuil de ses chroniques du Devoir, Le camp des justes, paraîtra le 15 nov. À mettre sur ma liste de cadeaux de Noël.
Un receuil de ses chroniques du Devoir, Le camp des justes, paraîtra le 15 nov. À mettre sur ma liste de cadeaux de Noël.
mardi 1 novembre 2011
En dessous, on est tous pareils... ouin pis?
L'excellent David Desjardins de L'actualité commente la campagne de Centraide qui présente des vedettes nues telles que Patrice L'écuyer et Jean-Nicolas Verreault. Il y dénonce notre société qui s'intéresse si peu aux pauvres qu'il faille déshabiller des gens pour nous sensibiliser. Je simplifie.
Faut lire. Malheureusement je ne le trouve pas sur le web. Ça s'appelle "La bonté à poil" par David Desjardins, page 96 de L'actualité du 1er novembre.
Un extrait (la conclusion):
... que reste-t-il si nous n'avons même pas le courage de faire de la pauvreté un enjeu politique plutôt que l'affaire d'organismes caritatifs? Il reste des chairs un peu tristes. Et au centre, un nombril, évidemment.
Faut lire. Malheureusement je ne le trouve pas sur le web. Ça s'appelle "La bonté à poil" par David Desjardins, page 96 de L'actualité du 1er novembre.
Un extrait (la conclusion):
... que reste-t-il si nous n'avons même pas le courage de faire de la pauvreté un enjeu politique plutôt que l'affaire d'organismes caritatifs? Il reste des chairs un peu tristes. Et au centre, un nombril, évidemment.
La course autour du monde
Enfant, j'étais un fan de l'émission "La course destination monde". Je me rappelle d'en rêver et de me voir à leur place.
Voilà que le canal Évasion fait revivre le concept. C'est plus discret, moins éclectique, moins glamour. Mais tout de même très intéressant. Quoique je n'ai plus les yeux de mes 16 ans pour rêver d'être à leur place.
Le dimanche à 18h et en reprise le mardi à 20h.
Voilà que le canal Évasion fait revivre le concept. C'est plus discret, moins éclectique, moins glamour. Mais tout de même très intéressant. Quoique je n'ai plus les yeux de mes 16 ans pour rêver d'être à leur place.
Le dimanche à 18h et en reprise le mardi à 20h.
Parler l'inuktitut
En une du Devoir, par un beau samedi d'automne (bravo... faut le faire!), un portrait d'un prof d'université qui prend sa retraite. Sa particularité, il enseigne l'inuktitut à l'Université Laval. Et avec sa retraite, si je me souviens bien, c'est la fin pour l'enseignement universitaire de cette langue. Oh, ce n'est sûrement pas si grave en soi. Mais l'article dénonce le peu d'intérêt des universités pour le nord et les autochtones. En plus de s'attrister du sort de ces langues ancestrales.
Lecture intéressante que je voulais partager. Ici.
Lecture intéressante que je voulais partager. Ici.
Occupy Vermont
Le titre de ce billet a plus ou moins rapport. L'autre jour en écoutant la télé américaine, j'ai vu un reportage sur le mouvement "Occupy Vermont". Ça m'a fait sourire... Burlington-New York... même combat. En fait oui... mais c'est quand même drôle de voir un mouvement né sur Wall Street qui se "Vermontise".
Anyway.
Le propos de ce billet est de présenter un éditorial de Mario Roy dans La Presse qui ramène les pendules à l'heure en ce qui à trait aux comparaisons entre le mouvement "Occupy" et le printemps arabe.
Voici un extrait:
Contemplant ainsi l'échelle des luttes pour la dignité, il est évident que, pour l'instant, ces sociétés du monde arabe sont celles qui, les premières, ont besoin d'attention, de respect, d'appui. Voire d'indignation, au besoin.
Le texte est ici.
Anyway.
Le propos de ce billet est de présenter un éditorial de Mario Roy dans La Presse qui ramène les pendules à l'heure en ce qui à trait aux comparaisons entre le mouvement "Occupy" et le printemps arabe.
Voici un extrait:
Contemplant ainsi l'échelle des luttes pour la dignité, il est évident que, pour l'instant, ces sociétés du monde arabe sont celles qui, les premières, ont besoin d'attention, de respect, d'appui. Voire d'indignation, au besoin.
Le texte est ici.
De l'équité démocratique
Chronique intéressante de Patrick Lagacé dans La Presse du 4 oct... du temps où le logo était une ellipse ;-)... C'est sur l'équilibre entre les différents comtés provinciaux.
Sa chronique s'intitule "Le droit de vote aux vaches". Ici.
Sa chronique s'intitule "Le droit de vote aux vaches". Ici.
J'ai lu
La disparition de Paris et sa renaissance en Afrique, de Martin Page.
Qu'en dire... j'ai été amèrement déçu. Ça avait pourtant bien commencé. Après quelques pages j'aimais bien le style de l'auteur et son personnage ni trop brouillon, ni trop mélancolique, ni trop enthousiasme. Sauf qu'ensuite on est transporté dans une histoire un peu fleur bleue, qui ne se tient pas et à laquelle on ne croit pas vraiment. Et le personnage principal, au départ si nettement défini, devient de plus en plus flou et de plus en plus cliché.
C'est très rare que je n'aime pas un livre. Mais j'avais hâte de terminer ce roman et après une courte pause, je n'avais pas envie de m'y remettre.
Pourtant, l'idée de base avait un certain panache, le titre en témoigne. Et le style littéraire de l'auteur est agréable. Pas trop de frioriture inutile. Je retiens le nom (Martin Page). Je tâcherai de lire un autre livre de lui, du moins j'éviterai de le bannir de mes lectures simplement parce que je n'ai pas aimé ce livre.
PS: Un libraire me l'avait conseillé. Donc n'allez pas croire que c'est médiocre. Mais ce n'était pas pour moi.
Qu'en dire... j'ai été amèrement déçu. Ça avait pourtant bien commencé. Après quelques pages j'aimais bien le style de l'auteur et son personnage ni trop brouillon, ni trop mélancolique, ni trop enthousiasme. Sauf qu'ensuite on est transporté dans une histoire un peu fleur bleue, qui ne se tient pas et à laquelle on ne croit pas vraiment. Et le personnage principal, au départ si nettement défini, devient de plus en plus flou et de plus en plus cliché.
C'est très rare que je n'aime pas un livre. Mais j'avais hâte de terminer ce roman et après une courte pause, je n'avais pas envie de m'y remettre.
Pourtant, l'idée de base avait un certain panache, le titre en témoigne. Et le style littéraire de l'auteur est agréable. Pas trop de frioriture inutile. Je retiens le nom (Martin Page). Je tâcherai de lire un autre livre de lui, du moins j'éviterai de le bannir de mes lectures simplement parce que je n'ai pas aimé ce livre.
PS: Un libraire me l'avait conseillé. Donc n'allez pas croire que c'est médiocre. Mais ce n'était pas pour moi.
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