En une du Devoir, par un beau samedi d'automne (bravo... faut le faire!), un portrait d'un prof d'université qui prend sa retraite. Sa particularité, il enseigne l'inuktitut à l'Université Laval. Et avec sa retraite, si je me souviens bien, c'est la fin pour l'enseignement universitaire de cette langue. Oh, ce n'est sûrement pas si grave en soi. Mais l'article dénonce le peu d'intérêt des universités pour le nord et les autochtones. En plus de s'attrister du sort de ces langues ancestrales.
Lecture intéressante que je voulais partager. Ici.
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