Vu sur le site de L'actualité. Ici.
Invitant.
Une vue de l'intérieur sur mon petit calepin noir où je note des lectures, quelques impressions, des trouvailles, des remarques, des idées, des choses que j'aime, etc. Je tweet en quelque sorte mais mon propos a rarement besoin d'être en direct. Ne cherchez pas un lieu commun... je parle de n'importe quoi.
mercredi 31 août 2011
La survie et l'importance des cadres intermédiaires (j'en suis)
Lu sur le site de "The Economist", relayé par le journal Les Affaires.
2 articles: ici et ici.
Extraits:
Although it may be fashionable to give middle managers a shoeing, there are still reasons to believe that theirs is not a wholly useless profession. A recent survey by the Economist Intelligence Unit (EIU), our sister organisation, found that an employee's relationship with his line manager is the most important factor in determining whether he remains motivated and productive. As Marcus Buckingham, a management writer, once quipped: “people join firms but leave managers”. This means that promotion to middle management should be considered too important to be merely a reward for good performance in a functional role. Instead, it should nurtured as a skill in its own right.
Ethan Mollick, of Wharton Business School in Pennsylvania, argues that firms should nurture managers with the initiative to balance the needs of day-to-day operations against the need to implement the board’s strategy. Middle managers also act as a crucial filter. A large firm may have tens of thousands of employees. The CEO cannot possibly listen to them all.
2 articles: ici et ici.
Extraits:
Although it may be fashionable to give middle managers a shoeing, there are still reasons to believe that theirs is not a wholly useless profession. A recent survey by the Economist Intelligence Unit (EIU), our sister organisation, found that an employee's relationship with his line manager is the most important factor in determining whether he remains motivated and productive. As Marcus Buckingham, a management writer, once quipped: “people join firms but leave managers”. This means that promotion to middle management should be considered too important to be merely a reward for good performance in a functional role. Instead, it should nurtured as a skill in its own right.
Ethan Mollick, of Wharton Business School in Pennsylvania, argues that firms should nurture managers with the initiative to balance the needs of day-to-day operations against the need to implement the board’s strategy. Middle managers also act as a crucial filter. A large firm may have tens of thousands of employees. The CEO cannot possibly listen to them all.
À la recherche de l'indice
Entendu à la radio ce matin: Le PIB n'est pas un indice parfait, il est trop limité, ne donne pas le portrait, global, etc. etc. etc.
Tout à fait d'accord.
Mais le commentateur (je ne me souviens pas c'est qui) parlait du besoin de trouver en quelque sorte un indice phare, qui serait suffisamment inclusif (en terme de données) pour vraiment mesurer l'état d'une nation.
Pourquoi faire? Pourquoi résumer autant de données, de facteurs, de critères à un seul facteur? Pourquoi ne présenter qu'un seul indice et lui faire dire tout ce qu'on veut? En quoi l'essor d'une nation peut-il se résumer à un seul indice? Et pourquoi n'en avoir qu'un? N'est-ce pas un peu abrutissant? N'est-ce pas essayer de tout résumé en un mot? Résumerait-on un roman en un mot en espérant comprendre l'histoire? Ne sommes nous pas assez intelligent comme peuple pour comprendre plus d'une variable?
Il y a déjà pas mal tout ce qui faut pour analyser (c'est le mot clé ici) la situation et se faire une opinion (PIB, Taux de chômage, Taux de pauvreté, Taux de pollution, etc).
Je refuse que l'on résume ma société à 2 "digit". Forçons-nous un peu de grâce. Il y a comme un consensus à l'effet qu'on vit dans une société qui va trop vite et où la performance prime sur tout. Pour moi, la recherche de l'Indice s'inscrit dans cette lignée.
Je ne sais pas si vous arrivez à me suivre ou si je suis trop dans ma tête...
Tout à fait d'accord.
Mais le commentateur (je ne me souviens pas c'est qui) parlait du besoin de trouver en quelque sorte un indice phare, qui serait suffisamment inclusif (en terme de données) pour vraiment mesurer l'état d'une nation.
Pourquoi faire? Pourquoi résumer autant de données, de facteurs, de critères à un seul facteur? Pourquoi ne présenter qu'un seul indice et lui faire dire tout ce qu'on veut? En quoi l'essor d'une nation peut-il se résumer à un seul indice? Et pourquoi n'en avoir qu'un? N'est-ce pas un peu abrutissant? N'est-ce pas essayer de tout résumé en un mot? Résumerait-on un roman en un mot en espérant comprendre l'histoire? Ne sommes nous pas assez intelligent comme peuple pour comprendre plus d'une variable?
Il y a déjà pas mal tout ce qui faut pour analyser (c'est le mot clé ici) la situation et se faire une opinion (PIB, Taux de chômage, Taux de pauvreté, Taux de pollution, etc).
Je refuse que l'on résume ma société à 2 "digit". Forçons-nous un peu de grâce. Il y a comme un consensus à l'effet qu'on vit dans une société qui va trop vite et où la performance prime sur tout. Pour moi, la recherche de l'Indice s'inscrit dans cette lignée.
Je ne sais pas si vous arrivez à me suivre ou si je suis trop dans ma tête...
All-TIME 100 Best Nonfiction Books selon le Time
mardi 30 août 2011
Deux raisons de plus de résister à la vague Facebook
(1) ... l'étude indique que l'anxiété induite par les objets technologiques, tout comme par les réseaux sociaux, affecte aujourd'hui un tiers des sujets de Sa Majesté, dont 20 % admettent même ne plus être «en contrôle» des outils de communication qui se retrouvent dans leur main.
Ici.
(2) Une étude britannique vient en effet confirmer ce que plusieurs adeptes du tout technologique commencent à soupçonner eux-mêmes: les nouveaux outils de communication seraient en train de créer chez plusieurs humains une dépendance équivalente ou supérieure à celle induite par la cigarette et l'alcool. Rien de moins.
Ici.
Ici.
(2) Une étude britannique vient en effet confirmer ce que plusieurs adeptes du tout technologique commencent à soupçonner eux-mêmes: les nouveaux outils de communication seraient en train de créer chez plusieurs humains une dépendance équivalente ou supérieure à celle induite par la cigarette et l'alcool. Rien de moins.
Ici.
La gestion des cartes géographiques par Google
Billet intéressant paru dans le blogue Triplex de la SRC sur la gestion des cartes géographiques de Google Maps et Google Earth. Ici.
Ce n'est pas aussi objectif qu'on pourrait le croire...
Ce n'est pas aussi objectif qu'on pourrait le croire...
Politico44
Voici une site qui suit Obama et Biden à la trace, affichant même leur agenda. Ici.
Intéressant dans le contexte où je dévore les épisodes de West Wing.
Intéressant dans le contexte où je dévore les épisodes de West Wing.
lundi 29 août 2011
La géopolique de la Syrie expliquée en un dessin
Voici une caricature trouvée ici, sur le site de "The Economist".
Le sens de l'humour d'Obama
Voir ici sur le site de campagne de Barack Obama, une tasse avec une copie de son certificat de naissance et le slogan "Made in USA".
Une belle réplique à ses détracteurs.
Une belle réplique à ses détracteurs.
dimanche 28 août 2011
Une bonne initiative, qu'on doit saluer et ensuite surveiller
"Les commissions scolaires entreprennent un virage à 180 degrés", ici.
Extrait de l'article:
Décidées à vouloir faire taire ceux qui souhaitent leur abolition, les commissions scolaires entreprendront un virage à 180 degrés cet automne visant à simplifier leur administration et à redonner à l'école publique ses lettres de noblesse.
Extrait de l'article:
Décidées à vouloir faire taire ceux qui souhaitent leur abolition, les commissions scolaires entreprendront un virage à 180 degrés cet automne visant à simplifier leur administration et à redonner à l'école publique ses lettres de noblesse.
De l'importance de la lecture
Pour se conforter sur l'importance de la lecture, je suggère cet éditorial de François Cardinal dans La Presse, ici.
J'ai lu - The Founding Brothers, de John Ellis
Ce livre est un récit de moments qui témoignent particulièrement bien, selon l'auteur, de la personnalité des plus marquants pères fondateurs et de l'époque.
Je m'attendais à un récit sur la fondation des États-unis. Pour ça je devrai me rabattre sur un autre livre du même auteur dont j'ai parlé plutôt dans ce blogue... Je n'arrives pas à voir le titre d'ici et ça ne me tente pas de me lever ;-).
Tout de même, c'est un texte passionnant qui me donne très envie d'en savoir plus sur la création du pays, sur Jefferson, Adams et Washington, pour ne nommer que ceux-là.
À classer dans la catégorie "Clairement une référence sur le sujet et qui ne peut être remplacée par Wikipédia".
Il y en a un autre qui commence à m'appeler : Team of rivals, sur le cabinet Lincoln. Mais quelle brique!
Je m'attendais à un récit sur la fondation des États-unis. Pour ça je devrai me rabattre sur un autre livre du même auteur dont j'ai parlé plutôt dans ce blogue... Je n'arrives pas à voir le titre d'ici et ça ne me tente pas de me lever ;-).
Tout de même, c'est un texte passionnant qui me donne très envie d'en savoir plus sur la création du pays, sur Jefferson, Adams et Washington, pour ne nommer que ceux-là.
À classer dans la catégorie "Clairement une référence sur le sujet et qui ne peut être remplacée par Wikipédia".
Il y en a un autre qui commence à m'appeler : Team of rivals, sur le cabinet Lincoln. Mais quelle brique!
J'ai lu - Extension du domaine de la lutte, de Michel Houellebecq
J'ai d'abord choisi ce livre à cause de l'auteur, que je connaissais de renommée, et parce que le titre me semblait franchement "cool".
Que je ne suis pas déçu... wow! Un tout petit livre, pas renversant, pas impressionnant, pas spectaculaire, juste super bon. Super bon pour le style, pour les réflexions, pour les personnages: pas trop clichés, pas trop nuancés, pas trop fins, pas trop cons. Bon pour les réflexions sur la place de l'informatique dans notre société (même si c'est secondaire au sujet du livre). Bon pour l'analogie entre le libéralisme économique et sexuel (d'où l'extension du domaine de la lutte des classes).
Pas de gros punch (je ne suis même pas certain d'avoir compris la fin, mais c'est secondaire). Juste un bon roman, intéressant, bien écrit, qui fait réfléchir et qui est différent.
Dans la catégorie "Pas recommandé à tout le monde mais je relirais dans 10 ans".
C'est mon seul "Houellebecq", mais pas mon dernier.
Que je ne suis pas déçu... wow! Un tout petit livre, pas renversant, pas impressionnant, pas spectaculaire, juste super bon. Super bon pour le style, pour les réflexions, pour les personnages: pas trop clichés, pas trop nuancés, pas trop fins, pas trop cons. Bon pour les réflexions sur la place de l'informatique dans notre société (même si c'est secondaire au sujet du livre). Bon pour l'analogie entre le libéralisme économique et sexuel (d'où l'extension du domaine de la lutte des classes).
Pas de gros punch (je ne suis même pas certain d'avoir compris la fin, mais c'est secondaire). Juste un bon roman, intéressant, bien écrit, qui fait réfléchir et qui est différent.
Dans la catégorie "Pas recommandé à tout le monde mais je relirais dans 10 ans".
C'est mon seul "Houellebecq", mais pas mon dernier.
J'ai lu - Dérives, de Biz
Dérives de Biz.
Reçu en cadeau à peu près lors de la naissance de ma fille... sauf que... ça raconte la dépression du personnage (probablement Biz lui-même) lors de la naissance de son fils. Oups!
Mauvais timing pour la lecture, à moins de chercher vraiment à se déstabiliser. Pas pour rien que ça m'a pris plus d'un le terminer (94 pages). En fait 1 an pour lire 20 pages et 1 heure pour lire les 74 pages restantes. Je l'avais commencé et déposer sur ma table de chevet en attendant qu'il m'appelle (j'ai déjà écrit sur les livres qui m'appelle). C'est finalement arrivé.
J'ai une drôle d'émotion face à ce livre. Il m'a fallu les 2/3 pour le trouver intéressant. Et à la fin, j'en aurais repris. Je commençais à m'habituer à son univers.
Le style est spécial. Un chapitre raconte, de façon métaphorique, un voyage sur un radeau dans un marais. On reconnaît rapidement (c'est correct ainsi) qu'il est question d'une analogie sur la dépression. Il m'a fallu un temps pour m'habituer à cette partie du livre (un chapitre sur deux) qui est très glauque. L'autre "chapitre sur deux" est la vie de tous les jours du personnage principal, qui souffre d'une dépression. On devine que tout son univers prend le bord et qu'il est "scotché" à son lit (son radeau je suppose). Un peu de difficulté encore une fois. Je trouvais le style très simpliste, très cliché. Sauf qu'on arrive à comprendre le personnage et à avoir de la sympathie pour lui.
À la fin, j'en aurais repris un peu.
Le véritable mérite de ce livre est de mettre la dépression en vedette, dans le rôle de la méchante mais quand même, en vedette. On ne l'aime pas plus, mais on comprend à quel point elle est sournoise la salope. On arrive aussi à la différencier de celui qui la porte.
Je reconnais aussi le courage de l'auteur pour avoir surmonter sa dépression (si c'est bien de lui dont il est question) et pour en témoigner publiquement.
Je ne me sens pas particulièrement proche d'être victime d'une dépression. Pas plus qu'un autre. Je crois seulement que c'est quelque chose qui nous guette dans ces années où tout va vite et où la performance compte autant. Je la "watch"... pour ne pas qu'elle m'attrape.
Je classe ce livre dans la catégorie "Pas sûr sûr mais je ne regrette pas de l'avoir lu". Contrairement au précédent "Phenicia" que je classerais plutôt dans "Bof, une soirée sur Wikipédia ferait tout aussi bien la job".
Reçu en cadeau à peu près lors de la naissance de ma fille... sauf que... ça raconte la dépression du personnage (probablement Biz lui-même) lors de la naissance de son fils. Oups!
Mauvais timing pour la lecture, à moins de chercher vraiment à se déstabiliser. Pas pour rien que ça m'a pris plus d'un le terminer (94 pages). En fait 1 an pour lire 20 pages et 1 heure pour lire les 74 pages restantes. Je l'avais commencé et déposer sur ma table de chevet en attendant qu'il m'appelle (j'ai déjà écrit sur les livres qui m'appelle). C'est finalement arrivé.
J'ai une drôle d'émotion face à ce livre. Il m'a fallu les 2/3 pour le trouver intéressant. Et à la fin, j'en aurais repris. Je commençais à m'habituer à son univers.
Le style est spécial. Un chapitre raconte, de façon métaphorique, un voyage sur un radeau dans un marais. On reconnaît rapidement (c'est correct ainsi) qu'il est question d'une analogie sur la dépression. Il m'a fallu un temps pour m'habituer à cette partie du livre (un chapitre sur deux) qui est très glauque. L'autre "chapitre sur deux" est la vie de tous les jours du personnage principal, qui souffre d'une dépression. On devine que tout son univers prend le bord et qu'il est "scotché" à son lit (son radeau je suppose). Un peu de difficulté encore une fois. Je trouvais le style très simpliste, très cliché. Sauf qu'on arrive à comprendre le personnage et à avoir de la sympathie pour lui.
À la fin, j'en aurais repris un peu.
Le véritable mérite de ce livre est de mettre la dépression en vedette, dans le rôle de la méchante mais quand même, en vedette. On ne l'aime pas plus, mais on comprend à quel point elle est sournoise la salope. On arrive aussi à la différencier de celui qui la porte.
Je reconnais aussi le courage de l'auteur pour avoir surmonter sa dépression (si c'est bien de lui dont il est question) et pour en témoigner publiquement.
Je ne me sens pas particulièrement proche d'être victime d'une dépression. Pas plus qu'un autre. Je crois seulement que c'est quelque chose qui nous guette dans ces années où tout va vite et où la performance compte autant. Je la "watch"... pour ne pas qu'elle m'attrape.
Je classe ce livre dans la catégorie "Pas sûr sûr mais je ne regrette pas de l'avoir lu". Contrairement au précédent "Phenicia" que je classerais plutôt dans "Bof, une soirée sur Wikipédia ferait tout aussi bien la job".
jeudi 25 août 2011
J'ai lu - Phénicia, de Alexandre Najjar
Je viens de terminer ce petit roman (environ 175 pages).
Pour dire vrai, je n'ai pas aimé.
Je trouvais la prémisse initiale très intéressante: Alexandre le Grand, la Phénicie, Carthage, etc.
Mais le résultat n'est pas à la hauteur de mes attentes. Histoire qui reste en surface et qui passe trop rapidement, nombreux clichés (le père méchant, l'oncle bienveillant, l'adolescente rebelle, le roi égocentrique, l'époux éloigné mais ô combien amoureux, etc.
On sent bien un souci pour les détails historiques. Mais Wikipédia n'est pas moins passionnant pour ça.
J'avais choisi ce livre parce que cette époque et cette région m'intéressent. Il a même gagné un prix (ça donne confiance).
Mais au final, je n'en tire pas vraiment d'expérience de lecture mémorable.
PS: J'ai aimé le prologue et l'épilogue. Époque différente, récit plus étoffé, etc.
Pour dire vrai, je n'ai pas aimé.
Je trouvais la prémisse initiale très intéressante: Alexandre le Grand, la Phénicie, Carthage, etc.
Mais le résultat n'est pas à la hauteur de mes attentes. Histoire qui reste en surface et qui passe trop rapidement, nombreux clichés (le père méchant, l'oncle bienveillant, l'adolescente rebelle, le roi égocentrique, l'époux éloigné mais ô combien amoureux, etc.
On sent bien un souci pour les détails historiques. Mais Wikipédia n'est pas moins passionnant pour ça.
J'avais choisi ce livre parce que cette époque et cette région m'intéressent. Il a même gagné un prix (ça donne confiance).
Mais au final, je n'en tire pas vraiment d'expérience de lecture mémorable.
PS: J'ai aimé le prologue et l'épilogue. Époque différente, récit plus étoffé, etc.
mardi 23 août 2011
Suivre Karine Champagne
Je ne connaissais pas vraiment Karine Champagne de TVA (LCN). Voici son blogue. Ici.
J'ai aimé ce que j'ai y ai lu. Tout d'abord parce que c'est une femme engagée dans le sport de haut niveau et qui en parle avec passion, à nous en donner envie.
Ensuite parce qu'elle est positive et invite les gens à se dépasser.
Finalement, parce qu'elle a fait une dépression et a eu le courage d'en parler sur son blogue. Bravo!
J'ai aimé ce que j'ai y ai lu. Tout d'abord parce que c'est une femme engagée dans le sport de haut niveau et qui en parle avec passion, à nous en donner envie.
Ensuite parce qu'elle est positive et invite les gens à se dépasser.
Finalement, parce qu'elle a fait une dépression et a eu le courage d'en parler sur son blogue. Bravo!
Nous serons bientôt 7 milliards ...
Excellent édito de Mario Roy dans La Presse de lundi sur la population mondiale qui atteindra 7 milliards. Ici.
Je l'aime celui-là. Il est brillant et a toujours un point de vue pertinent.
Voici un extrait:
Enfin, 7 milliards d'êtres humains, c'est aussi 7 milliards de cerveaux! Avec la seule arme que l'évolution lui a donnée, l'intelligence, l'espèce a à ce jour vaincu tous les problèmes qui se sont présentés à elle. Et il n'y a pas de raisons pour que ça s'arrête: s'il faut entretenir une foi quelconque, c'est en l'homme qu'il faut la placer.
Or, face aux problèmes - car il y en a - liés à l'augmentation de la population, l'intelligence et la foi en nos propres moyens ne seront pas superflues.
Je l'aime celui-là. Il est brillant et a toujours un point de vue pertinent.
Voici un extrait:
Enfin, 7 milliards d'êtres humains, c'est aussi 7 milliards de cerveaux! Avec la seule arme que l'évolution lui a donnée, l'intelligence, l'espèce a à ce jour vaincu tous les problèmes qui se sont présentés à elle. Et il n'y a pas de raisons pour que ça s'arrête: s'il faut entretenir une foi quelconque, c'est en l'homme qu'il faut la placer.
Or, face aux problèmes - car il y en a - liés à l'augmentation de la population, l'intelligence et la foi en nos propres moyens ne seront pas superflues.
dimanche 21 août 2011
Un cadeau de Gil Courtemance
Ici une chronique publiée dans Le Devoir d'hier en guise de souvenir (cadeau) de Gil Courtemanche.
Je ne connaissais de lui que ses chroniques dans Le Devoir du samedi. Que je lisais religieusement. Je n'ai jamais lu ses livres par contre.
Je ne connaissais de lui que ses chroniques dans Le Devoir du samedi. Que je lisais religieusement. Je n'ai jamais lu ses livres par contre.
vendredi 19 août 2011
mardi 9 août 2011
The West Wing pourrait inspirer Obama
Je viens d'écouter 2 épisodes de The West Wing qui me font penser beaucoup à Obama en ce moment: popularité au plus bas, n'arrive pas à rien faire débloquer d'apparent, moral des troupes bas, etc. L'équipe du président dans l'émission arrive à renverser la tendance par une série de décisions courageuses et un retour à la vision initiale du président.
Bon, je sais que c'est juste un show de télé... mais quand même. J'étais un fan d'Obama mais on dirait qu'il n'a plus le "guts" (ni le congrès) pour faire les changements qu'ils proposaient.
Faut dire que la politique américaine est une drôle de bête. Mais à trop vouloir travailler pour sa réélection, on en oublies sûrement les vrais enjeux.
Bon, je sais que c'est juste un show de télé... mais quand même. J'étais un fan d'Obama mais on dirait qu'il n'a plus le "guts" (ni le congrès) pour faire les changements qu'ils proposaient.
Faut dire que la politique américaine est une drôle de bête. Mais à trop vouloir travailler pour sa réélection, on en oublies sûrement les vrais enjeux.
samedi 6 août 2011
Ban Ki-moon demande directement à Al-Assad la fin des violences en Syrie
Ici.
Mon commentaire: Ça a pris tout ce temps pour lui lâcher un coup de fil et lui dire de se calmer? Bravo pour le "guts" M. Ki-moon.
Mon commentaire: Ça a pris tout ce temps pour lui lâcher un coup de fil et lui dire de se calmer? Bravo pour le "guts" M. Ki-moon.
Ingénieur logiciel, une profession peu stressante?
C'est ce que prétend un sondage/étude cité sur le site du Time et qui place la profession d'ingénieur logiciel en 3e position des jobs les moins stressantes. Ici.
Je conteste. C'est un travail exigeant qui amène un grand lot de responsabilités, de rigueur et d’immutabilité et incidemment, de stress.
Je conteste. C'est un travail exigeant qui amène un grand lot de responsabilités, de rigueur et d’immutabilité et incidemment, de stress.
Citation du jour
"La civilisation, au vrai sens du terme, ne consiste pas à multiplier les besoins, mais à les limiter volontairement. C'est le seul moyen pour connaître le vrai bonheur et nous rendre plus disponible aux autres [...] Il faut un minimum de bien-être et de confort ; mais, passé cette limite, ce qui devait nous aider devient une source de gêne. Vouloir créer un nombre illimité de besoins pour avoir ensuite à les satisfaire n'est que poursuivre du vent. Ce faux idéal n'est qu'un traquenard."
Mahatma Gandhi - 1869-1948 - Lettre à l'âshram - 1971
Mahatma Gandhi - 1869-1948 - Lettre à l'âshram - 1971
The West Wing
Wow!!! Quelle série passionnante. Je dévore depuis 2-3 semaines. Encore 5 saisons et demi à écouter.
The Walrus
J'ai découvert récemment le magazine canadien "The Walrus". Je me suis abonné après avoir lu un ou deux trucs intéressant et vu le faible prix (20$ par année). J'ai laissé mes exemplaires prendre la poussière jusqu'à la semaine dernière ou une semaine de vacances sur le bord d'un lac m'ont donné envie de les lire (je les avait amené). J'ai vraiment apprécié. De longs textes, pas nécessairement neutres mais bien écrits et qui font réagir/font réfléchir.
Voici une description du magazine prise sur Wikipédia:
The Walrus is a Canadian general interest magazine which publishes long form journalism on Canadian and international affairs, along with fiction and poetry by Canadian writers. It launched in September 2003, as an attempt to create a Canadian equivalent to American magazines such as Harper's, The Atlantic Monthly or The New Yorker. The magazine's mandate is "to be a national general interest magazine about Canada and its place in the world. We are committed to publishing the best work by the best writers from Canada and elsewhere on a wide range of topics for readers who are curious about the world."
Je ferai le lien prochainement vers 2 articles. Le site du magazine est actuellement non-fonctionnel.
Voici une description du magazine prise sur Wikipédia:
The Walrus is a Canadian general interest magazine which publishes long form journalism on Canadian and international affairs, along with fiction and poetry by Canadian writers. It launched in September 2003, as an attempt to create a Canadian equivalent to American magazines such as Harper's, The Atlantic Monthly or The New Yorker. The magazine's mandate is "to be a national general interest magazine about Canada and its place in the world. We are committed to publishing the best work by the best writers from Canada and elsewhere on a wide range of topics for readers who are curious about the world."
Je ferai le lien prochainement vers 2 articles. Le site du magazine est actuellement non-fonctionnel.
En train de lire
"The Founding Brothers", par John Ellis.
Ce livre a remporté un prix Pullitzer.
L'auteur raconte six moments marquants dans la fondation et les premières années des États-Unis.
Comme je suis très intéressé par l'histoire américaine, je trouve ce livre particulièrement intéressant. Ce n'est pas par contre, comme je le croyais, un livre sur la fondation des USA. Mais c'est là son intérêt finalement. Il va plus loin que l'histoire connue et racontée un peu partout. On y lit plusieurs détails sur des tractations dans les coulisses du pouvoir de ce nouveau pays. Et pour satisfaire d'histoire plus classique sur la fondation des États-Unis, j'ai acheté "American Creation", du même auteur.
Il a également écrit "His Excellency", une bio de George Washington que j'ajouterai à ma bibliothèque. L'auteur me plaît beaucoup par sa rigueur et son objectivité.
Ce livre a remporté un prix Pullitzer.
L'auteur raconte six moments marquants dans la fondation et les premières années des États-Unis.
Comme je suis très intéressé par l'histoire américaine, je trouve ce livre particulièrement intéressant. Ce n'est pas par contre, comme je le croyais, un livre sur la fondation des USA. Mais c'est là son intérêt finalement. Il va plus loin que l'histoire connue et racontée un peu partout. On y lit plusieurs détails sur des tractations dans les coulisses du pouvoir de ce nouveau pays. Et pour satisfaire d'histoire plus classique sur la fondation des États-Unis, j'ai acheté "American Creation", du même auteur.
Il a également écrit "His Excellency", une bio de George Washington que j'ajouterai à ma bibliothèque. L'auteur me plaît beaucoup par sa rigueur et son objectivité.
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