Excellente chronique de l'excellent David Desjardins dans Le Devoir de ce matin. Ici.
Il y parle des médias qui poussent la note sur des nouvelles, même horribles, pour attirer, pour vendre.
Extrait:
Il y a un point de rupture dans la couverture des faits divers, que vous ne voyez plus, je crois... Ce point de rupture, c'est ce moment ou l'on quitte la nouvelle pour entrer, plutôt, dans son exploitation, ..., qui ne relève plus autant de l'information que de la vente.
Ça m'a fait penser que cet été, je me suis désabonné de La Presse. Il y avait trop de ce qui ne m'intéressait pas et pas assez de l'inverse. J'ai choisi Le Devoir. Ça plus écouter la première chaîne de la SRC dans l'auto le matin et j'ai tout ce qu'il me faut. Ça s'explique aussi par mon désir de consommer moins de télé, de journaux, de nouvelles, de web. De laisser plus de place à la famille, à la musique, à la lecture, etc. Des choses dans lesquelles je trouve beaucoup de satisfaction et dont le rythme est différent, pas plus lent, pas moins bruyants. Peut-être moins instantané, plus satisfaisant, plus ...
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