Dans mon calepin
Une vue de l'intérieur sur mon petit calepin noir où je note des lectures, quelques impressions, des trouvailles, des remarques, des idées, des choses que j'aime, etc. Je tweet en quelque sorte mais mon propos a rarement besoin d'être en direct. Ne cherchez pas un lieu commun... je parle de n'importe quoi.
mardi 18 décembre 2012
De l’utilité des caricatures
Les bonnes caricatures mettent en image ce qui ne s'écrit pas. Voir Garnotte dans Le Devoir de ce matin. Ici.
J'ai lu
Dans le ventre du Soudan, de Guillaume Lavallée, publié en 2012 chez Mémoire d'encrier.
J'ai acheté ce livre récemment au salon du livre au petit kiosque de sa maison d'édition. Éditeur d'ailleurs que je garderai sur mon radar vu la qualité de son catalogue.
J'avais un intérêt pour le Soudan du sud nouvellement indépendant et je suis aussi intéressé par la politique africaine. Ça peut faire de moi un drôle d'oiseau, j'en conviens. Mais pour qui me connaît bien, histoire et politique me fascine. D'ici et d'ailleurs. Ce livre me semblait donc très à propos. Et ce fût le cas!
L'auteur nous fait voyager avec lui, nous traîne dans de vieux autobus, des déserts cruels, des souks grouillants, une capitale égocentrique. Il nous présente, des tribus, des rebelles, des politiciens, des religieux. Il nous promène dans les arcanes du pouvoir, nous explique les dessous des dessous des dessous car de toute évidence, au Soudan, rien n'est simple.
Un livre fascinant pour quiconque trouve un intérêt dans les guerres, les paix, les jeux et les histoires qui façonnent le monde.
J'ai acheté ce livre récemment au salon du livre au petit kiosque de sa maison d'édition. Éditeur d'ailleurs que je garderai sur mon radar vu la qualité de son catalogue.
J'avais un intérêt pour le Soudan du sud nouvellement indépendant et je suis aussi intéressé par la politique africaine. Ça peut faire de moi un drôle d'oiseau, j'en conviens. Mais pour qui me connaît bien, histoire et politique me fascine. D'ici et d'ailleurs. Ce livre me semblait donc très à propos. Et ce fût le cas!
L'auteur nous fait voyager avec lui, nous traîne dans de vieux autobus, des déserts cruels, des souks grouillants, une capitale égocentrique. Il nous présente, des tribus, des rebelles, des politiciens, des religieux. Il nous promène dans les arcanes du pouvoir, nous explique les dessous des dessous des dessous car de toute évidence, au Soudan, rien n'est simple.
Un livre fascinant pour quiconque trouve un intérêt dans les guerres, les paix, les jeux et les histoires qui façonnent le monde.
jeudi 13 décembre 2012
J'ai lu
La face cachée de Papa Doc de Jean Florival publié chez Mémoires d'encrier. Intéressant, fascinant même. Mais on s'y perd rapidement si on ne connaît pas tous les gens dont les noms défilent dans le livre. Et on voit trop peu à mon goût comment ça se passait à l'intérieur du régime. De plus, on sait que l'auteur est un proche du régime mais cette proximité n'est pas très claire. On voit bien qu'il faisait partie d'un cercle proche du pouvoir mais on ne sait pas trop comment ni pourquoi il a atterrit dans ce cercle ni pourquoi il y demeure.
De la consommation de l'information
Excellente chronique de l'excellent David Desjardins dans Le Devoir de ce matin. Ici.
Il y parle des médias qui poussent la note sur des nouvelles, même horribles, pour attirer, pour vendre.
Extrait:
Il y a un point de rupture dans la couverture des faits divers, que vous ne voyez plus, je crois... Ce point de rupture, c'est ce moment ou l'on quitte la nouvelle pour entrer, plutôt, dans son exploitation, ..., qui ne relève plus autant de l'information que de la vente.
Ça m'a fait penser que cet été, je me suis désabonné de La Presse. Il y avait trop de ce qui ne m'intéressait pas et pas assez de l'inverse. J'ai choisi Le Devoir. Ça plus écouter la première chaîne de la SRC dans l'auto le matin et j'ai tout ce qu'il me faut. Ça s'explique aussi par mon désir de consommer moins de télé, de journaux, de nouvelles, de web. De laisser plus de place à la famille, à la musique, à la lecture, etc. Des choses dans lesquelles je trouve beaucoup de satisfaction et dont le rythme est différent, pas plus lent, pas moins bruyants. Peut-être moins instantané, plus satisfaisant, plus ...
Il y parle des médias qui poussent la note sur des nouvelles, même horribles, pour attirer, pour vendre.
Extrait:
Il y a un point de rupture dans la couverture des faits divers, que vous ne voyez plus, je crois... Ce point de rupture, c'est ce moment ou l'on quitte la nouvelle pour entrer, plutôt, dans son exploitation, ..., qui ne relève plus autant de l'information que de la vente.
Ça m'a fait penser que cet été, je me suis désabonné de La Presse. Il y avait trop de ce qui ne m'intéressait pas et pas assez de l'inverse. J'ai choisi Le Devoir. Ça plus écouter la première chaîne de la SRC dans l'auto le matin et j'ai tout ce qu'il me faut. Ça s'explique aussi par mon désir de consommer moins de télé, de journaux, de nouvelles, de web. De laisser plus de place à la famille, à la musique, à la lecture, etc. Des choses dans lesquelles je trouve beaucoup de satisfaction et dont le rythme est différent, pas plus lent, pas moins bruyants. Peut-être moins instantané, plus satisfaisant, plus ...
Du temps et des pauses
Longtemps que je n'avais pas écris sur ce blogue. Beaucoup de choses se sont passées. Dont l'arrivée de la belle, précieuse, fantastique, drôle et attachante Emma dans nos vies.
J'avais un peu perdu le goût il faut dire.
Mais voilà, en me relisant j'ai comme qui dirait repris goût.
Comme je suis mon principal public, je doute d'avoir froisser quelques lecteurs que ce soit.
Des fois je ne sais plus trop ou aller pour dire ce que je veux dire... LinkedIn, Twitter, le blogue. Des fois j'ai le goût d'être anonyme. D'autres non. Moi qui ait besoin de stabilité, c'est un petit casse tête parfois de parler sur plusieurs tableaux. Mais on dirait que ce blogue m'offre une plateforme de partage pour tout ce qui m'intéresse. Alors que Twitter me permet de partager rapidement des liens et que LinkedIn me permet de m'exposer sur le marché du travail. D'ailleurs j'y vais de moins en moins et je n'y parle pratiquement pas. C'est une bête à nourrir quand on commence. Alors que mon blogue, c'est tout à moi, tout personnel, même si quelques uns y viennent de temps à autre. Mais justement, y écrire me crée une certaine gêne. Pourtant, je n'y dis pas de grosses bêtises. Mais ça implique de présenter un moi que je ne montre pas toujours, que je garde pour des intimes et dans des contextes particuliers. Un moi que je ne choisis plus quand et par qui il sera vu, puisque il devient écrit et accessible. C'est là mon malaise de bloguer et d'y accoler mon nom.
Mais bon, ce ne sont que de petits désagréments comparé au plaisir que j'ai à relire ce calepin, pas pour mes commentaires mais pour tous les trucs intéressants que j'ai trouvé et publié.
J'avais un peu perdu le goût il faut dire.
Mais voilà, en me relisant j'ai comme qui dirait repris goût.
Comme je suis mon principal public, je doute d'avoir froisser quelques lecteurs que ce soit.
Des fois je ne sais plus trop ou aller pour dire ce que je veux dire... LinkedIn, Twitter, le blogue. Des fois j'ai le goût d'être anonyme. D'autres non. Moi qui ait besoin de stabilité, c'est un petit casse tête parfois de parler sur plusieurs tableaux. Mais on dirait que ce blogue m'offre une plateforme de partage pour tout ce qui m'intéresse. Alors que Twitter me permet de partager rapidement des liens et que LinkedIn me permet de m'exposer sur le marché du travail. D'ailleurs j'y vais de moins en moins et je n'y parle pratiquement pas. C'est une bête à nourrir quand on commence. Alors que mon blogue, c'est tout à moi, tout personnel, même si quelques uns y viennent de temps à autre. Mais justement, y écrire me crée une certaine gêne. Pourtant, je n'y dis pas de grosses bêtises. Mais ça implique de présenter un moi que je ne montre pas toujours, que je garde pour des intimes et dans des contextes particuliers. Un moi que je ne choisis plus quand et par qui il sera vu, puisque il devient écrit et accessible. C'est là mon malaise de bloguer et d'y accoler mon nom.
Mais bon, ce ne sont que de petits désagréments comparé au plaisir que j'ai à relire ce calepin, pas pour mes commentaires mais pour tous les trucs intéressants que j'ai trouvé et publié.
jeudi 14 juin 2012
Petit trip géo-historico-politique
Je suis sur un petit buzz géo-historico-politique ces temps-ci (toujours en fait) dans mes lectures: réunification de l'Allemagne, coup d'état et dictature de Pinochet au Chili, chute de l'URSS, etc. Ce sont des lectures précédentes mais aussi de simples nouvelles lues sur le web qui m'amènent vers ces sujets: un peu de Wikipédia pour en savoir plus et go! on achète un livre plus détaillé. Ces thèmes m'intéressent au plus au point et sont le thème central de mes achats ces temps-ci. Je cherche maintenant des livres semblables sur l'histoire africaine (au nord de l'Afrique du sud, sur laquelle j'ai déjà lu abondamment).
PS: Je conviens que mes billets de ce matin ne sont pas très précis ni utiles à mes rarissimes lecteurs. Je suis en mode très "soft" ce matin. J'ai pourtant plein de choses à dire. Je rêve de faire de ce blogue un véritable lieu d'échange et de contenu présenté sous un angle différent (comme Le Devoir!). Mais il me manque le temps et l'énergie pour le faire. À défaut d'y arriver, je laisse de petites traces de mes idées...
PS: Je conviens que mes billets de ce matin ne sont pas très précis ni utiles à mes rarissimes lecteurs. Je suis en mode très "soft" ce matin. J'ai pourtant plein de choses à dire. Je rêve de faire de ce blogue un véritable lieu d'échange et de contenu présenté sous un angle différent (comme Le Devoir!). Mais il me manque le temps et l'énergie pour le faire. À défaut d'y arriver, je laisse de petites traces de mes idées...
Premium
Un petit mot pour souligner la qualité du magazine Premium publié par Les Affaires. C'est un agrégat de textes de revues de gestion prestigieuses, commentés par des experts d'ici, traduits et regroupés autour d'un thème, par exemple l'innovation.
C'est très bien fait et très invitant.
C'est agréable d'avoir accès à de tels articles, en français en plus. Le temps manque pour faire la revue des sites de HBR, MIT Sloan, etc. Ce magazine fait donc oeuvre utile en amenant ces articles directement sur mon bureau.
Bravo!
C'est très bien fait et très invitant.
C'est agréable d'avoir accès à de tels articles, en français en plus. Le temps manque pour faire la revue des sites de HBR, MIT Sloan, etc. Ce magazine fait donc oeuvre utile en amenant ces articles directement sur mon bureau.
Bravo!
Hommage au journal Le Devoir
Je suis depuis longtemps un admirateur du journal Le Devoir. Un gaulois dans un monde hyper médiatisé, sauvé plusieurs fois d'une mort certaine mais toujours aussi rigoureux et différent (à mes yeux du moins). La couverture n'est pas très large, mais on ne va pas au Devoir tant pour obtenir les dernières nouvelles que pour s'y abreuver de trucs différents. Si je veux de l'actualité, je visite Radio-Canada.ca ou La Presse Mobile ou encore j'écoute RDI. D'excellentes sources d'information. Complète et rigoureuse. Mais dans mon Devoir du samedi matin, j'obtiendrai à coup sûr des angles différents et inédits. Je ne le le lis donc pas pour connaître les nouvelles mais pour les comprendre encore mieux.
Si j'avais plus de temps, je publierais sur ce blogue un nombre incalculable de textes du Devoir chaque samedi.
C'était mon hommage du jour à ce journal unique mais surtout, utile.
Si j'avais plus de temps, je publierais sur ce blogue un nombre incalculable de textes du Devoir chaque samedi.
C'était mon hommage du jour à ce journal unique mais surtout, utile.
dimanche 1 avril 2012
La banalisation
Voici une chronique très intéressante de David Desjardins dans le Voir Québec sur le sujet en titre.
À vous de juger ce que vous en pensez. Son texte apporte un point de vue qui vaut la peine d'être dit selon moi.
Ici.
À vous de juger ce que vous en pensez. Son texte apporte un point de vue qui vaut la peine d'être dit selon moi.
Ici.
J'ai lu
The Bang Bang Club.
Le livre raconte la vie de 4 photographes Sud-Africain pendant les années de transition vers la démocratie en Afrique du Sud.
C'est dur, c'est violent et c'est déprimant. Mais c'est aussi très bon pour quiconque s'intéresse à l'histoire de ce pays.
Le livre raconte la vie de 4 photographes Sud-Africain pendant les années de transition vers la démocratie en Afrique du Sud.
C'est dur, c'est violent et c'est déprimant. Mais c'est aussi très bon pour quiconque s'intéresse à l'histoire de ce pays.
J'ai lu
Moneyball, de Michael Lewis.
Ce livre, porté à l'écran avec Brad Pitt dans le rôle titre, raconte l'histoire du DG des A's d'Oakland qui se base sur des statistiques (sabermetrics) pour former et diriger son équipe. Il s'agit, au moment du livre, d'une approche novatrice. Ça l'est moins maintenant et d'ailleurs l'écart entre les A's et les autres s'est rétrécie, voir il est maintenant nul, vu la forte popularité des sabermetrics.
Quelques commentaires:
Ce livre, porté à l'écran avec Brad Pitt dans le rôle titre, raconte l'histoire du DG des A's d'Oakland qui se base sur des statistiques (sabermetrics) pour former et diriger son équipe. Il s'agit, au moment du livre, d'une approche novatrice. Ça l'est moins maintenant et d'ailleurs l'écart entre les A's et les autres s'est rétrécie, voir il est maintenant nul, vu la forte popularité des sabermetrics.
Quelques commentaires:
- Livre passionnant qui donne le goût d'aimer le baseball.
- Le livre, et donc l'auteur, n'a aucun recul en terme de temps. Le livre s'est écrit pendant que le DG façonnait son équipe avec cette technique. On ne peut bénéficier de l'Histoire pour mieux apprécier ou non la technique.
- La technique a l'aspect positif d'amener une dimension très rationnelle à une industrie qui n'en a cure. Par contre, tout au long du livre j'avais l'impression que cette technique avait le danger de dénaturer le sport. En choisissant par contre un joueur qui est tout sauf un athlète, sur le simple fait de statistiques.
- J'ai cherché sur Wikipédia ce qu'était devenu certains des joueurs clés présentés dans le livre. Sauf un ou deux, les quatre ou cinq autres que j'ai regardés ne font plus long feu dans la ligue. De là la pertinence de juger de cette technique avec le recul du temps.
Du bon usage des citations
"Le problème avec les citations sur Internet, c'est qu'il est très difficile de savoir si elles sont authentiques."
-Abraham Lincoln
-Abraham Lincoln
J'ai lu
Je n'aurai pas le temps, la biographie d'Hubert Reeves.
Ce n'est pas du tout ce à quoi je m'attendais. Je ne croyais pas que ce serait une bio uniquement mais plutôt un essai, ce que sont ces livres précédents. D'ailleurs, il m'a définitivement donné le goût de lire ses autres livres.
Pour ce qui est de celui-ci. Je dirais plutôt intéressant, même si le ton est souvent (trop) fleur bleue.
Ce n'est pas du tout ce à quoi je m'attendais. Je ne croyais pas que ce serait une bio uniquement mais plutôt un essai, ce que sont ces livres précédents. D'ailleurs, il m'a définitivement donné le goût de lire ses autres livres.
Pour ce qui est de celui-ci. Je dirais plutôt intéressant, même si le ton est souvent (trop) fleur bleue.
J'ai vu
Café de flore, de Jean-Marc Vallée.
Wow! Je suis soufflé. L'un des 3-4 meilleurs films que j'ai vu de toute ma vie. La réalisation est incroyable, l'histoire, le casting, le jeu des acteurs.
Je ne lui trouve littéralement aucun défaut... vive l'esprit critique.
Mais pour le qualifier, je dirais sans me gêner: Ce film est une oeuvre d'art.
Wow! Je suis soufflé. L'un des 3-4 meilleurs films que j'ai vu de toute ma vie. La réalisation est incroyable, l'histoire, le casting, le jeu des acteurs.
Je ne lui trouve littéralement aucun défaut... vive l'esprit critique.
Mais pour le qualifier, je dirais sans me gêner: Ce film est une oeuvre d'art.
vendredi 20 janvier 2012
Je n'y crois pas
En tout cas... C'est un peu simpliste il me semble. Calculer mathématiquement la familiarité d'une équipe... C'est un peu plus nuancé que ça quand même. Ici.
Je suis déçu de voir ce blogueur présenter cette recherche comme un panacé sans le remettre en question.
Je suis déçu de voir ce blogueur présenter cette recherche comme un panacé sans le remettre en question.
mercredi 11 janvier 2012
J'ai lu - La bibliothèque du géographe, de Jon Fasman
Franchement... pas excellent. Pas mauvais non plus. C'est un polar avec un canevas assez intéressant (des antiquités de grandes valeurs, un meurtre, un journaliste, etc.). Mais c'est bourré de clichés gros comme ça et de fautes d'orthographe (une dizaine). Ça se passe aux USA et c'est écrit par un américain mais la traduction que j'ai lu, vient vraiment de France... et ça agace un peu.
L'histoire a ceci d'intéressant que les chapitres alternent entre une histoire contemporaine, le roman en soi, et l'histoire de chaque antiquité. Cette quinzaine d'histoire est par contre très décousue et on sent qu'on devrait la saisir un peu mieux. Par contre, elle apparaît très crédible et très documenté. Mais à cause de ces ruptures de ton, de la confusion dans ces histoires et du niveau de détail (encore dans les histoires d'antiquités), j'hésiterais à le recommander à un lecteur qui cherche un bon polar facile.
On dirait vraiment qu'on a affaire à 2 romans.
Je me suis bien amusé quand même.
L'histoire a ceci d'intéressant que les chapitres alternent entre une histoire contemporaine, le roman en soi, et l'histoire de chaque antiquité. Cette quinzaine d'histoire est par contre très décousue et on sent qu'on devrait la saisir un peu mieux. Par contre, elle apparaît très crédible et très documenté. Mais à cause de ces ruptures de ton, de la confusion dans ces histoires et du niveau de détail (encore dans les histoires d'antiquités), j'hésiterais à le recommander à un lecteur qui cherche un bon polar facile.
On dirait vraiment qu'on a affaire à 2 romans.
Je me suis bien amusé quand même.
Instead of choose now, think harder
Lu dans le livre The Opposable Mind de Roger Martin : Instead of choose now, think harder.
dimanche 8 janvier 2012
Ça aurait pu être moi
Voir cette chronique à la fois touchante et révoltante de David Desjardins dans L'actualité (l'un de mes chroniqueurs préférés, tout médias confondus). Ici. Titre: "Lettre à un ami paumé." Je dirais que ça pourrait être moi, pas tant parce que j'ai passé proche (pas vraiment je crois) mais parce que ça vient d'une paresse qui nous habite sûrement tous un peu. Si on n'est pas cet ami paumé, c'est par choix et par persévérance, pas par facilité (en tout cas pour le commun des mortels).
Dire autre chose qu'autrement
Petite chronique sympatique d'Antoine Robitaille dans Le Devoir sur l'utilisation abusive du mot "autrement", surtout en politique mais pas uniquement. Ici.
Chronique de Pierre Foglia sur les choses qui avancent alors que l'homme recule
Chronique de Pierre Foglia du 31 décembre dernier. Ici. Il y parle des choses qui avancent en général, mais de l'homme qui régresse.
Mais je ne suis pas d'accord avec sa critique de l'oeuvre montrée en photo. Où alors je ne comprends pas.
Father and son
Quelle chanson formidable de Cat Stevens. Je l'écoute souvent en boucle tant je l'aime.
Dernière, j'ai essayé de porter attention aux paroles encore plus afin de les traduire en temps réel pour ma blonde.
J'ai accroché sur cette phrase du fils à son père, que je trouve particulièrement percutante:
"From the moment I could talk I was ordered to listen"
Dernière, j'ai essayé de porter attention aux paroles encore plus afin de les traduire en temps réel pour ma blonde.
J'ai accroché sur cette phrase du fils à son père, que je trouve particulièrement percutante:
"From the moment I could talk I was ordered to listen"
Entendu aujourd'hui à la radio (paroles d'une chanson)
Je ne connais pas la chanson ni l'interprète. La phrase était à peu de choses près ceci (en parlant du temps où nous étions jeunes): "On n'avait pas les mots, les grands les gardaient pour eux pour se défendre."
Intéressant.
Intéressant.
C'est 2011 ou les revues de fin d'année qui n'étaient pas drôles
Le Devoir en parlait récemment. Ici. Une critique de Zap 2011 des zapartistes qui propose que si c'était "faible" c'est entre autre parce que 2011 ne nous a pas fait bien rigoler.
À ce sujet, un commentaire très personnel pour tous les humoristes, scénaristes et gérants d'estrade. Arrêtez donc de systématiquement dire que notre société est nulle, que nos politiciens sont nuls, que le peuple est nul. Ça vient plate à la longue. Tout ne vas pas si mal... Et tous vos discours rétrogradent... ça n'aide pas toujours... à force de démoraliser tout le monde.
Pas très éloquent comme édito, j'en conviens. Très simpliste. Mais toute la critique ces temps-ci l'est aussi il me semble.
À ce sujet, un commentaire très personnel pour tous les humoristes, scénaristes et gérants d'estrade. Arrêtez donc de systématiquement dire que notre société est nulle, que nos politiciens sont nuls, que le peuple est nul. Ça vient plate à la longue. Tout ne vas pas si mal... Et tous vos discours rétrogradent... ça n'aide pas toujours... à force de démoraliser tout le monde.
Pas très éloquent comme édito, j'en conviens. Très simpliste. Mais toute la critique ces temps-ci l'est aussi il me semble.
Et si en 2012, on décrochait un peu
Un excellent texte de Fabien Deglise dans la page Société du Devoir de samedi dernier. Ici. Malheureusement l'article est réservé aux abonnés (ou on peut l'acheter). Mais c'est un excellent papier qui 5 résolutions pour 2012, comme de renouer un peu avec le réel et cesser de tout arrêter parce qu'un courriel vient d'entrer sur notre téléphone intelligent.
Cette chronique m'éloigne un peu plus de mon iPad. Depuis plusieurs mois, je limite ma consommation d'Internet et de télévision. Pas tant par choix de le faire moins que par choix de faire autre chose, ce qui me laisse moins de temps. Et je compte poursuivre dans cette veine. Ce n'est pas tant pour jouer plus avec ma fille, la télé et l'Internet c'est/c'était une fois qu'elle est au lit. Et ce n'est pas toujours pour faire des choix romantique comme lire ou parler, bien que ce le soit aussi. C'est aussi pour dormir, faire du ménage, faire des travaux dans la maison, réparer (ou plus souvent faire réparer) quelque chose qui est brisé (plutôt que le jeter, un autre de mes trips depuis un an ou deux), etc.
Oh ce n'est pas parfait, il est encore facile de me scotcher à la télé ou à mon ordinateur. Mais cette baisse est réelle et tangible et il me semble, même si c'est juste dans ma tête, qu'elle me fait du bien.
Cette chronique m'éloigne un peu plus de mon iPad. Depuis plusieurs mois, je limite ma consommation d'Internet et de télévision. Pas tant par choix de le faire moins que par choix de faire autre chose, ce qui me laisse moins de temps. Et je compte poursuivre dans cette veine. Ce n'est pas tant pour jouer plus avec ma fille, la télé et l'Internet c'est/c'était une fois qu'elle est au lit. Et ce n'est pas toujours pour faire des choix romantique comme lire ou parler, bien que ce le soit aussi. C'est aussi pour dormir, faire du ménage, faire des travaux dans la maison, réparer (ou plus souvent faire réparer) quelque chose qui est brisé (plutôt que le jeter, un autre de mes trips depuis un an ou deux), etc.
Oh ce n'est pas parfait, il est encore facile de me scotcher à la télé ou à mon ordinateur. Mais cette baisse est réelle et tangible et il me semble, même si c'est juste dans ma tête, qu'elle me fait du bien.
J'ai lu - Limonov, de Emmanuel Carrère
C'est une biographie de l'écrivain-politicien russe Édouard Limonov. Un gars un peu louche en ce qui me concerne. Mais le livre est fascinant. D'abord parce que c'est Carrère, que je ne connaissais pas. Je veux dire, le texte de l'auteur est excellent. Le ton, le rythme, le style. Tout. C'est d'abord pour cela que le livre est bon selon moi. Il raconterait une autre histoire que ce serait presque aussi bon. Ensuite parce que ça passe en URSS et la Russie d'aujourd'hui. Un terreau qui m'intéresse beaucoup. Finalement, parce que Limonov a eu une vie extraordinaire, dans le sens de pas ordinaire.
Même si on se prend à s'intéresser au personnage et à le trouver "pas si pire", je dirais qu'au fil d'arrivée, je le considère comme un type vraiment bizarre, très guidé par ses instincts, pas très penché sur l'introspection et très égo-tous-les-suffixes-possibles. Donc je ne l'aime pas.
Mais le livre... à lui je l'aime.
À suivre, plus de lectures de Carrère et un intérêt encore plus grand pour l'URSS et le communisme.
Même si on se prend à s'intéresser au personnage et à le trouver "pas si pire", je dirais qu'au fil d'arrivée, je le considère comme un type vraiment bizarre, très guidé par ses instincts, pas très penché sur l'introspection et très égo-tous-les-suffixes-possibles. Donc je ne l'aime pas.
Mais le livre... à lui je l'aime.
À suivre, plus de lectures de Carrère et un intérêt encore plus grand pour l'URSS et le communisme.
dimanche 27 novembre 2011
À lire
En vrac, quelques trucs intéressants que j'ai vu, lu, entendu à gauche et à droite.:
Louis-Hippolyte Lafontaine et Robert Baldwin, de John Saul. Ici.
La guerre souterraine, Sous terre on se bat aussi (sur les tunnels-refuges de la guerre du Viet-Nam) de Jérôme et Laurent Triolet. Ici.
Un billet d'avion pour l'Afrique, de Maya Angelou. Ici.
Le sermon aux poissons, de Patrice Lessard. Ici.
L'oeuvre de Emmanuel Carrère, très populaire ces temps-ci.
Le dernier testament de Ben Zion Avrohom, de James Fray. Ici.
Louis-Hippolyte Lafontaine et Robert Baldwin, de John Saul. Ici.
La guerre souterraine, Sous terre on se bat aussi (sur les tunnels-refuges de la guerre du Viet-Nam) de Jérôme et Laurent Triolet. Ici.
Un billet d'avion pour l'Afrique, de Maya Angelou. Ici.
Le sermon aux poissons, de Patrice Lessard. Ici.
L'oeuvre de Emmanuel Carrère, très populaire ces temps-ci.
Le dernier testament de Ben Zion Avrohom, de James Fray. Ici.
Dans mon iPod
C'est un monde, de Fred Pellerin. Les textes sont dans lui, contrairement à son dernier album qui n'en contenait que 2.
J'aime la voix, le ton, les paroles, la mélodie. Un très beau texte. Comme pour ses contes, on l'écoute nous raconter ses histoires.
J'aime la voix, le ton, les paroles, la mélodie. Un très beau texte. Comme pour ses contes, on l'écoute nous raconter ses histoires.
dimanche 13 novembre 2011
Ma musique en nuage
Wow! J'adore.
Je cherchais à installer iCloud pour partager ma musique iTunes entre mes 2 laptops. Sauf que... il faut Windows Vista ou 7. Oups. En plus, ça ne permettait pas de la partager sur nos 2 cellulaires qui sont sous Android.
J'ai trouvé la solution quelque part dans un magazine. mSpot. J'ai droit à 5Gb gratuit (environ 4000 chansons) que je peux lire de n'importe lequel de mes ordinateurs et à partir de nos 2 cellulaires. À condition d'être relié à Internet il va sans dire. J'adore.
Devrais-je tout de même garder une copie de mes chansons sur mon disque dur externe? Pas certain mais on dirait que j'ai peur de m'en débarasser. N'allons pas trop rapidement. Faisons-donc un petit back-up au cas où.
Je cherchais à installer iCloud pour partager ma musique iTunes entre mes 2 laptops. Sauf que... il faut Windows Vista ou 7. Oups. En plus, ça ne permettait pas de la partager sur nos 2 cellulaires qui sont sous Android.
J'ai trouvé la solution quelque part dans un magazine. mSpot. J'ai droit à 5Gb gratuit (environ 4000 chansons) que je peux lire de n'importe lequel de mes ordinateurs et à partir de nos 2 cellulaires. À condition d'être relié à Internet il va sans dire. J'adore.
Devrais-je tout de même garder une copie de mes chansons sur mon disque dur externe? Pas certain mais on dirait que j'ai peur de m'en débarasser. N'allons pas trop rapidement. Faisons-donc un petit back-up au cas où.
Garder la tête froide et prendre son temps
Je suis d'accord avec le point de vue d'André Pratte sur son blogue de La Presse (concernant le peu de nouvelles que l'on a jusqu'ici de la juge Charbonneau). Prenez votre temps Mme la juge. Le texte est ici.
Enfin une voix qui s'élève pour dire que tout n'est pas toujours pressante. Des fois, un silence vaut mieux que de parler pour rien. Et quant à moi, ce silence est gage de préparation.
Enfin une voix qui s'élève pour dire que tout n'est pas toujours pressante. Des fois, un silence vaut mieux que de parler pour rien. Et quant à moi, ce silence est gage de préparation.
À lire... parce qu'on se paie la tête de Chavez
Dans un avion pour Caracas de Charles Dantzig.
Voici la description qu'en fait l'auteur sur le site de la maison d'édition. Ici. J'aime bien cette phrase en particulier: C'est un livre sur le populisme qui monte sur le monde comme une marée.
Voici la description qu'en fait l'auteur sur le site de la maison d'édition. Ici. J'aime bien cette phrase en particulier: C'est un livre sur le populisme qui monte sur le monde comme une marée.
À lire
Des vies d'oiseaux, de Véronique Ovaldé. C'est Nathalie Collard qui en parlé dans La Presse, comme étant un de ses coups de coeur. Voici l'extrait de son texte qui m'a attiré.:
"J'ai tellement aimé que j'ai lu tous ses romans, qui se déroulent toujours en Amérique latine alors qu'elle n'y a jamais mis les pieds."
"J'ai tellement aimé que j'ai lu tous ses romans, qui se déroulent toujours en Amérique latine alors qu'elle n'y a jamais mis les pieds."
À lire
J'ai lu une chronique récemment dans L'actualité (sept 2011) sur le livre Le juste milieu de Annabel Lyon.
Ça raconte le lien Aristote-Alexandre le grand. Prémisse intéressante.
Ça raconte le lien Aristote-Alexandre le grand. Prémisse intéressante.
Vingt romans québécois à sauver de l'oubli
Titre d'un texte paru dans La Presse d'hier, ici.
Je fais ma part. Je m'engage à tous les lire. Et en conserver une copie, autant que faire se peut. Quelqu'un me suit?
Je fais ma part. Je m'engage à tous les lire. Et en conserver une copie, autant que faire se peut. Quelqu'un me suit?
Mandela et De Klerk
Grâce aux bons soins d'un ami, je peux enfin visualiser le film Mandela - De Klerk, que je ne trouvais pas nul part. Paraît que ça raconte bien le fil des évènements.
À lire
J'ai lu quelques articles sur Les chroniques de Jérusalem, bédé de Guy Delisle qui raconte une année passée là-bas. Bien envie de la lire, et de l'avoir dans ma bibliothèque, parce qu'avouons que le genre est assez spécial.
Un inédit de Gil Courtemanche
Un texte inédit de Gil Courtemanche publié dans Le Devoir d'hier. Ici. J'adorais les textes de cet auteur-chroniqueur-érudit... je ne sais comment le nommé. Il est malheureusement décédé.
Un receuil de ses chroniques du Devoir, Le camp des justes, paraîtra le 15 nov. À mettre sur ma liste de cadeaux de Noël.
Un receuil de ses chroniques du Devoir, Le camp des justes, paraîtra le 15 nov. À mettre sur ma liste de cadeaux de Noël.
mardi 1 novembre 2011
En dessous, on est tous pareils... ouin pis?
L'excellent David Desjardins de L'actualité commente la campagne de Centraide qui présente des vedettes nues telles que Patrice L'écuyer et Jean-Nicolas Verreault. Il y dénonce notre société qui s'intéresse si peu aux pauvres qu'il faille déshabiller des gens pour nous sensibiliser. Je simplifie.
Faut lire. Malheureusement je ne le trouve pas sur le web. Ça s'appelle "La bonté à poil" par David Desjardins, page 96 de L'actualité du 1er novembre.
Un extrait (la conclusion):
... que reste-t-il si nous n'avons même pas le courage de faire de la pauvreté un enjeu politique plutôt que l'affaire d'organismes caritatifs? Il reste des chairs un peu tristes. Et au centre, un nombril, évidemment.
Faut lire. Malheureusement je ne le trouve pas sur le web. Ça s'appelle "La bonté à poil" par David Desjardins, page 96 de L'actualité du 1er novembre.
Un extrait (la conclusion):
... que reste-t-il si nous n'avons même pas le courage de faire de la pauvreté un enjeu politique plutôt que l'affaire d'organismes caritatifs? Il reste des chairs un peu tristes. Et au centre, un nombril, évidemment.
La course autour du monde
Enfant, j'étais un fan de l'émission "La course destination monde". Je me rappelle d'en rêver et de me voir à leur place.
Voilà que le canal Évasion fait revivre le concept. C'est plus discret, moins éclectique, moins glamour. Mais tout de même très intéressant. Quoique je n'ai plus les yeux de mes 16 ans pour rêver d'être à leur place.
Le dimanche à 18h et en reprise le mardi à 20h.
Voilà que le canal Évasion fait revivre le concept. C'est plus discret, moins éclectique, moins glamour. Mais tout de même très intéressant. Quoique je n'ai plus les yeux de mes 16 ans pour rêver d'être à leur place.
Le dimanche à 18h et en reprise le mardi à 20h.
Parler l'inuktitut
En une du Devoir, par un beau samedi d'automne (bravo... faut le faire!), un portrait d'un prof d'université qui prend sa retraite. Sa particularité, il enseigne l'inuktitut à l'Université Laval. Et avec sa retraite, si je me souviens bien, c'est la fin pour l'enseignement universitaire de cette langue. Oh, ce n'est sûrement pas si grave en soi. Mais l'article dénonce le peu d'intérêt des universités pour le nord et les autochtones. En plus de s'attrister du sort de ces langues ancestrales.
Lecture intéressante que je voulais partager. Ici.
Lecture intéressante que je voulais partager. Ici.
Occupy Vermont
Le titre de ce billet a plus ou moins rapport. L'autre jour en écoutant la télé américaine, j'ai vu un reportage sur le mouvement "Occupy Vermont". Ça m'a fait sourire... Burlington-New York... même combat. En fait oui... mais c'est quand même drôle de voir un mouvement né sur Wall Street qui se "Vermontise".
Anyway.
Le propos de ce billet est de présenter un éditorial de Mario Roy dans La Presse qui ramène les pendules à l'heure en ce qui à trait aux comparaisons entre le mouvement "Occupy" et le printemps arabe.
Voici un extrait:
Contemplant ainsi l'échelle des luttes pour la dignité, il est évident que, pour l'instant, ces sociétés du monde arabe sont celles qui, les premières, ont besoin d'attention, de respect, d'appui. Voire d'indignation, au besoin.
Le texte est ici.
Anyway.
Le propos de ce billet est de présenter un éditorial de Mario Roy dans La Presse qui ramène les pendules à l'heure en ce qui à trait aux comparaisons entre le mouvement "Occupy" et le printemps arabe.
Voici un extrait:
Contemplant ainsi l'échelle des luttes pour la dignité, il est évident que, pour l'instant, ces sociétés du monde arabe sont celles qui, les premières, ont besoin d'attention, de respect, d'appui. Voire d'indignation, au besoin.
Le texte est ici.
De l'équité démocratique
Chronique intéressante de Patrick Lagacé dans La Presse du 4 oct... du temps où le logo était une ellipse ;-)... C'est sur l'équilibre entre les différents comtés provinciaux.
Sa chronique s'intitule "Le droit de vote aux vaches". Ici.
Sa chronique s'intitule "Le droit de vote aux vaches". Ici.
J'ai lu
La disparition de Paris et sa renaissance en Afrique, de Martin Page.
Qu'en dire... j'ai été amèrement déçu. Ça avait pourtant bien commencé. Après quelques pages j'aimais bien le style de l'auteur et son personnage ni trop brouillon, ni trop mélancolique, ni trop enthousiasme. Sauf qu'ensuite on est transporté dans une histoire un peu fleur bleue, qui ne se tient pas et à laquelle on ne croit pas vraiment. Et le personnage principal, au départ si nettement défini, devient de plus en plus flou et de plus en plus cliché.
C'est très rare que je n'aime pas un livre. Mais j'avais hâte de terminer ce roman et après une courte pause, je n'avais pas envie de m'y remettre.
Pourtant, l'idée de base avait un certain panache, le titre en témoigne. Et le style littéraire de l'auteur est agréable. Pas trop de frioriture inutile. Je retiens le nom (Martin Page). Je tâcherai de lire un autre livre de lui, du moins j'éviterai de le bannir de mes lectures simplement parce que je n'ai pas aimé ce livre.
PS: Un libraire me l'avait conseillé. Donc n'allez pas croire que c'est médiocre. Mais ce n'était pas pour moi.
Qu'en dire... j'ai été amèrement déçu. Ça avait pourtant bien commencé. Après quelques pages j'aimais bien le style de l'auteur et son personnage ni trop brouillon, ni trop mélancolique, ni trop enthousiasme. Sauf qu'ensuite on est transporté dans une histoire un peu fleur bleue, qui ne se tient pas et à laquelle on ne croit pas vraiment. Et le personnage principal, au départ si nettement défini, devient de plus en plus flou et de plus en plus cliché.
C'est très rare que je n'aime pas un livre. Mais j'avais hâte de terminer ce roman et après une courte pause, je n'avais pas envie de m'y remettre.
Pourtant, l'idée de base avait un certain panache, le titre en témoigne. Et le style littéraire de l'auteur est agréable. Pas trop de frioriture inutile. Je retiens le nom (Martin Page). Je tâcherai de lire un autre livre de lui, du moins j'éviterai de le bannir de mes lectures simplement parce que je n'ai pas aimé ce livre.
PS: Un libraire me l'avait conseillé. Donc n'allez pas croire que c'est médiocre. Mais ce n'était pas pour moi.
lundi 3 octobre 2011
Les retombées d'une mission économique
Pourquoi mesurer le succès d'une mission économique (comme celle de Jean Charest en Chine) au nombre de contrats signés là-bas. C'est bien utopique. Il faut y voir un travail de terrain, le tissage de relations, etc.
Le Devoir titrait justement le 3 sept dernier: Les retombées viendront plus tard. Ici.
Une petite citation qui illustre justement mon propos:
De fait, la Chine a ses particularités. C'est un marché immense, en pleine expansion, qu'il faut entretenir souvent et longtemps pour espérer y faire de bonnes affaires.
Le Devoir titrait justement le 3 sept dernier: Les retombées viendront plus tard. Ici.
Une petite citation qui illustre justement mon propos:
De fait, la Chine a ses particularités. C'est un marché immense, en pleine expansion, qu'il faut entretenir souvent et longtemps pour espérer y faire de bonnes affaires.
À lire
L'équation africaine, de Yasmina Khadra.
PS: Quand je mets des billets sur des trucs à lire, ce sont avant tout des notes pour me rappeler plutôt que de garder des déchirures de journaux. Mais si ça donne le goût à d'autres, tant mieux.
Donc pardonnez le peu de détails. Considérez cela comme une note à moi-même.
PS: Quand je mets des billets sur des trucs à lire, ce sont avant tout des notes pour me rappeler plutôt que de garder des déchirures de journaux. Mais si ça donne le goût à d'autres, tant mieux.
Donc pardonnez le peu de détails. Considérez cela comme une note à moi-même.
De l'utilité des PPP
C'est une police d'assurance pour le gouvernement. Monique Jérôme-Forget en parle dans Le Devoir de ce matin. Ici.
Faudrait-il tuer les partis politiques
Texte de Antoine Robitaille du Devoir sur le rôle des partis politiques. Ici.
De la responsabilité des parents et de l'État dans la garde des enfants
Excellente chronique sur le rôle de l'État et des parents dans la garde des enfants. Ici.
C'est de Marie-Claude Lortie de La Presse.
C'est de Marie-Claude Lortie de La Presse.
J'ai vu ça
Les jeunes de la rue de Mexico. Un photo-reportage de L'actualité, ici.
Noël 1996, j'y étais, pour un séjour de 2 semaines justement avec les enfants de la rue. Sauf la violence, j'y ai vu de tout. J'ai parlé aux gens, j'ai visité leur chez soi dans les bidonvilles ou leur petit coin de rue. J'ai visité une prison pour jeunes. J'ai ris beaucoup avec eux. Mais je n'ai pas pleuré. Je ne réalisais pas assez l'ampleur, la profondeur, la tristesse que je voyais. J'étais un occidental compatissant et gentil. Empathique. Mais pas un observateur engagé. Un observateur point. Si j'avais à y retourner, je n'aurais plus les mêmes yeux. C'est la maturité, la paternité, la vie quoi.
Regardez la photo de la page 12. Le visage de gens n'est pas différent du nôtre un petit lundi matin. Mais tout autour est différent. Je ne dis pas qu'ils ne sont pas malheureux, je ne sais pas. Ce que je veux dire c'est que la photo n'a rien de particulier. Pas d'éclat de rire, pas de grande tristesse, pas de désespoir. Juste un portrait bien simple mais qui pourtant illustre une très grande misère. La boîte de pizza, le jeune fille, les lits de fortune, la saleté, le danger de dormir là.
La photo rend très bien comment je me sentais à l'époque. On réalise le drame, mais on ne le sent pas.
Noël 1996, j'y étais, pour un séjour de 2 semaines justement avec les enfants de la rue. Sauf la violence, j'y ai vu de tout. J'ai parlé aux gens, j'ai visité leur chez soi dans les bidonvilles ou leur petit coin de rue. J'ai visité une prison pour jeunes. J'ai ris beaucoup avec eux. Mais je n'ai pas pleuré. Je ne réalisais pas assez l'ampleur, la profondeur, la tristesse que je voyais. J'étais un occidental compatissant et gentil. Empathique. Mais pas un observateur engagé. Un observateur point. Si j'avais à y retourner, je n'aurais plus les mêmes yeux. C'est la maturité, la paternité, la vie quoi.
Regardez la photo de la page 12. Le visage de gens n'est pas différent du nôtre un petit lundi matin. Mais tout autour est différent. Je ne dis pas qu'ils ne sont pas malheureux, je ne sais pas. Ce que je veux dire c'est que la photo n'a rien de particulier. Pas d'éclat de rire, pas de grande tristesse, pas de désespoir. Juste un portrait bien simple mais qui pourtant illustre une très grande misère. La boîte de pizza, le jeune fille, les lits de fortune, la saleté, le danger de dormir là.
La photo rend très bien comment je me sentais à l'époque. On réalise le drame, mais on ne le sent pas.
Ma génération est habitée par la conviction qu'elle peut tout faire
Un texte d'une grande profondeur et plein de sens d'un certain David Desjardins, que je ne connais pas, et qui écrit dans L'actualité une chronique nommée "Champ libre". Ici.
Ma génération est habitée par la conviction qu'elle peut tout faire.
Il aborde les contradictions de notre génération qui cherchent à tout concilier au point d'en faire un véritable mantra. Mais considérez cette courte description comme étant bien boiteuse et aucunement à la hauteur du texte. Je l'ai lu 2 fois et bien que je le comprenne, je n'en saisis pas toutes les nuances.
Ma génération est habitée par la conviction qu'elle peut tout faire.
Il aborde les contradictions de notre génération qui cherchent à tout concilier au point d'en faire un véritable mantra. Mais considérez cette courte description comme étant bien boiteuse et aucunement à la hauteur du texte. Je l'ai lu 2 fois et bien que je le comprenne, je n'en saisis pas toutes les nuances.
Let Obama be Obama
Titre inspiré d'un épisode de West wing.
Éditorial intéressant de Mario Roy de La Presse le 24 sept dernier sur le "procès" fait à Obama. Il suggère ceci en conclusion:
Tout cela étant, il serait à notre avis plus sage d'ajourner pour l'instant le procès de Barack Obama.
Je retiens particulièrement cette citation :
Deux, dans un contexte de vide politique notamment induit par la décérébration du Parti républicain, les grands discours d'Obama sont des phares d'intelligence que la psyché américaine apercevra toujours. Le verbe compte, en effet.
Le texte intégral est ici.
Éditorial intéressant de Mario Roy de La Presse le 24 sept dernier sur le "procès" fait à Obama. Il suggère ceci en conclusion:
Tout cela étant, il serait à notre avis plus sage d'ajourner pour l'instant le procès de Barack Obama.
Je retiens particulièrement cette citation :
Deux, dans un contexte de vide politique notamment induit par la décérébration du Parti républicain, les grands discours d'Obama sont des phares d'intelligence que la psyché américaine apercevra toujours. Le verbe compte, en effet.
Le texte intégral est ici.
mardi 13 septembre 2011
Êtes-vous une moule qui s'ignore?
Billet de Olivier Schmouker sur le site LesAffaires.com. Ici.
Un extrait:
"Le manager doit donc aiguiser l'envie de progresser, d'apprendre, de se renouveler, de reconsidérer ce que l'on croit savoir, de se préparer aux évolutions."
"Le manager doit donc aiguiser l'envie de progresser, d'apprendre, de se renouveler, de reconsidérer ce que l'on croit savoir, de se préparer aux évolutions."
lundi 12 septembre 2011
Message de départ mais pas d'adieu
Ce matin, en arrivant au travail, j'avais le texte suivant écrit en gros sur le tableau dans mon bureau. Je ne sais pas de qui est la citation mais la personne qui l'a écrite est un ami très cher qui a terminé son emploi avec nous vendredi et qui débute un nouveau travail ce matin. Je note ce texte dans blogue pour m'en rappeler et pouvoir le relire.
May the road rise to meet you,
May the wind always be at your back,
May the sun shine warm upon your face,
May the rains fall soft on your fields,
And until we meet again my friend,
May God hold you and your familiy in the hollow of His hand.
Packman44
Je garde mes commentaires pour Packman44 en personne ;-).
May the road rise to meet you,
May the wind always be at your back,
May the sun shine warm upon your face,
May the rains fall soft on your fields,
And until we meet again my friend,
May God hold you and your familiy in the hollow of His hand.
Packman44
Je garde mes commentaires pour Packman44 en personne ;-).
jeudi 8 septembre 2011
Encore sur les indices et les palmarès
Un édito très pertinent de François Cardinal (La Presse) concernant les classements universitaires. Ici.
mardi 6 septembre 2011
Le cynisme expliqué aux politiciens
Sortie très à propos de Patrick Lagacé sur son blogue. Ici.
Son billet est franchement pertinent, percutant et dans les dents.
J'endosse son propos à savoir que les (des?) politiciens alimentent le cynisme.
Son billet est franchement pertinent, percutant et dans les dents.
J'endosse son propos à savoir que les (des?) politiciens alimentent le cynisme.
samedi 3 septembre 2011
Mon meilleur café?
J'ai été prendre un café ici ce matin. Wow! Excellent. Beau. Chaleureux. Service impeccable.
De l'engagement du personnel
Billet intéressant sur le blogue d'Olivier Schmouker (que je viens de découvrir) sur le site de Les Affaires à propos de l'engagement affectif du personnel. Ici.
D'ailleurs tout son blogue est intéressant. Il écrit sur le management.
Voici d'autres billets intéressants:
Sur LinkedIn et ses risques, ici.
De quoi a le plus besoin un leader? Ici.
Extraits de ce dernier billet:
Les deux chercheurs espagnols sont partis d’une idée intéressante : et si notre vision du leadership n’était plus adaptée à la réalité d’aujourd’hui? En effet, on peut se demander s’il est toujours pertinent de considérer d’une part le leader, et d’autres part les membres de son équipe, suivant le modèle paternaliste leader/suiveurs. Et par la même occasion, on peut aller plus loin dans la réflexion, en s’interrogeant sur le fait que le leader est de nos jours perçu comme le seul détenteur du leadership : et si – autre question pertinente – on diffusait plutôt le leadership dans l’ensemble de l’entreprise, au lieu de le concentrer dans les mains de quelques individus? MM. Cardona et Rey préconisent dès lors l’instauration d’un tout nouveau modèle de leadership : le modèle leader/leader. De quoi s’agit-il? De la coexistence de plusieurs leaders dans le même environnement, mais à différents niveaux de l’entreprise. Cela nécessite l’abandon complet du moidèle leader/suiveurs, dans lequel il y en a un qui dirige, et les autres qui se plient à sa volonté. Oui, diffuser le leadership revient à créer une «communauté de leaders» ayant un impact à tous les niveaux hiérarchiques de l’entreprise, à l’image de la courroie de transmission d’un moteur de voiture. Du coup, des leaders en viennent à diriger d’autres leaders, et ce de manière coordonnée et constructive, et ce, sans que ce soit toujours les mêmes qui dirigent. «Être un leader, c’est avoir le goût de faire la différence… Être un leader, c’est l’art d’influencer son équipe dans les petites choses de la vie afin d’en réaliser de grandes… Être un leader inspirant, c’est se connaître, connaître chacune de nos forces qui nous distinguent et en faire profiter son équipe, en faisant preuve de cohérence et d’authenticité», estime d’ailleurs Nancy Deroy, présidente de Deroy Cabinet Coaching. «Un leader ne peut dire qu’il est un leader, ce sont les autres qui le disent de lui»…
D'ailleurs tout son blogue est intéressant. Il écrit sur le management.
Voici d'autres billets intéressants:
Sur LinkedIn et ses risques, ici.
De quoi a le plus besoin un leader? Ici.
Extraits de ce dernier billet:
Les deux chercheurs espagnols sont partis d’une idée intéressante : et si notre vision du leadership n’était plus adaptée à la réalité d’aujourd’hui? En effet, on peut se demander s’il est toujours pertinent de considérer d’une part le leader, et d’autres part les membres de son équipe, suivant le modèle paternaliste leader/suiveurs. Et par la même occasion, on peut aller plus loin dans la réflexion, en s’interrogeant sur le fait que le leader est de nos jours perçu comme le seul détenteur du leadership : et si – autre question pertinente – on diffusait plutôt le leadership dans l’ensemble de l’entreprise, au lieu de le concentrer dans les mains de quelques individus? MM. Cardona et Rey préconisent dès lors l’instauration d’un tout nouveau modèle de leadership : le modèle leader/leader. De quoi s’agit-il? De la coexistence de plusieurs leaders dans le même environnement, mais à différents niveaux de l’entreprise. Cela nécessite l’abandon complet du moidèle leader/suiveurs, dans lequel il y en a un qui dirige, et les autres qui se plient à sa volonté. Oui, diffuser le leadership revient à créer une «communauté de leaders» ayant un impact à tous les niveaux hiérarchiques de l’entreprise, à l’image de la courroie de transmission d’un moteur de voiture. Du coup, des leaders en viennent à diriger d’autres leaders, et ce de manière coordonnée et constructive, et ce, sans que ce soit toujours les mêmes qui dirigent. «Être un leader, c’est avoir le goût de faire la différence… Être un leader, c’est l’art d’influencer son équipe dans les petites choses de la vie afin d’en réaliser de grandes… Être un leader inspirant, c’est se connaître, connaître chacune de nos forces qui nous distinguent et en faire profiter son équipe, en faisant preuve de cohérence et d’authenticité», estime d’ailleurs Nancy Deroy, présidente de Deroy Cabinet Coaching. «Un leader ne peut dire qu’il est un leader, ce sont les autres qui le disent de lui»…
Les médias sociaux en marketing
Article intéressant paru dans Les Affaires du 3 sept sur le rôle des médias sociaux en marketing. Ici.
Extraits:
"Vous perdez votre argent", dit celui qui joint sa voix à plusieurs autres dans le milieu du marketing et qui s'inquiète de cette ruée irrationnelle vers les médias sociaux. Elle ressemble à l'époque où les entreprises ajoutaient "point-com" à leur logo pour avoir l'air dans le coup. "Nous n'apprenons pas", dit Peter Shankman, joint à ses bureaux de Manhattan.
Les médias sociaux ne sont pour lui qu'un outil dans la palette du spécialiste du marketing afin d'atteindre un but principal : servir honorablement les clients afin de générer des recettes, comme le fait le marketing depuis la nuit des temps.
"Le marketing implique une chose : connaître son public et adapter ses promotions en fonction de celui-ci. Les experts en médias sociaux ne font pas ça. Ils construisent une page de fans et, quand ça donne peu de résultats en matière de ventes, ils disent : "Bien, on va juste ajouter davantage de statuts."
Les vrais spécialistes du marketing, conclut-il, savent quand utiliser les méthodes traditionnelles, les médias sociaux ou le bouche à oreille. Car ultimement, c'est le but qui importe. "Les médias sociaux ne sont pas cool ; faire de l'argent l'est."
Leviers et complexité d'un projet de logiciel
Logique
Vu dans Les Affaires, une citation de Maude Cohen, présidente de l'Ordre des ingénieurs du Québec:
"Choisir la soumission en fonction de son prix n'encourage pas l'innovation et ce n'est pas économique, car cela se traduit souvent par des mauvais choix de matériaux ou de techniques qui vont augmenter les coûts d'entretien de l'infrastructure et réduire sa durée de vie."
Bien d'accord avec vous Mme Cohen. C'est logique. La situation actuelle ne fait que niveler vers le bas. Mais le frein à cette façon de faire: La population ne fait pas confiance à ceux qui attribuent les contrats parce qu'on a été échaudé par le passé. Mais il faut trouver une façon de se rendre vers ce que vous proposez. C'est trop logique à mes yeux. À moins de faire un appel d'offres hyper-détaillé, le prix ne peut être le seul critère. Et si l'appel d'offre est trop détaillé, ne perd-t-on pas de la capacité d'innovation que pourrait amener le fournisseur?
C'est comme une embauche. Doit-on prendre celui qui "score" le plus fort à l'examen? Non. C'est impossible que l'examen soit le meilleur baromètre. Il faut évaluer un ensemble de facteurs et prendre une décision basée sur ces facteurs. Mais alors dirons certain, ça devient subjectif? Oui. Un peu. Mais ce qui nous distingue des robots et des singes, c'est notre capacité de raisonner. C'est impossible de tout contrôler pour avoir une objectivité sans faille. Et ce serait de toute façon un éteignoir. Si j'embauche quelqu'un, si je donne un contrat, dois-je nécessairement me fier à un seul indice très quantitatif? Pensons à notre vie de tous les jours... Prenons-nous toujours le fournisseur le moins cher pour rénover notre maison? Achetons-nous la maison la moins cher parce qu'elle répond à tous nos critères? Choisissons nous notre partenaire de vie sur la base d'une analyse en 10 points. Posez ces questions c'est y répondre.
vendredi 2 septembre 2011
mercredi 31 août 2011
La survie et l'importance des cadres intermédiaires (j'en suis)
Lu sur le site de "The Economist", relayé par le journal Les Affaires.
2 articles: ici et ici.
Extraits:
Although it may be fashionable to give middle managers a shoeing, there are still reasons to believe that theirs is not a wholly useless profession. A recent survey by the Economist Intelligence Unit (EIU), our sister organisation, found that an employee's relationship with his line manager is the most important factor in determining whether he remains motivated and productive. As Marcus Buckingham, a management writer, once quipped: “people join firms but leave managers”. This means that promotion to middle management should be considered too important to be merely a reward for good performance in a functional role. Instead, it should nurtured as a skill in its own right.
Ethan Mollick, of Wharton Business School in Pennsylvania, argues that firms should nurture managers with the initiative to balance the needs of day-to-day operations against the need to implement the board’s strategy. Middle managers also act as a crucial filter. A large firm may have tens of thousands of employees. The CEO cannot possibly listen to them all.
2 articles: ici et ici.
Extraits:
Although it may be fashionable to give middle managers a shoeing, there are still reasons to believe that theirs is not a wholly useless profession. A recent survey by the Economist Intelligence Unit (EIU), our sister organisation, found that an employee's relationship with his line manager is the most important factor in determining whether he remains motivated and productive. As Marcus Buckingham, a management writer, once quipped: “people join firms but leave managers”. This means that promotion to middle management should be considered too important to be merely a reward for good performance in a functional role. Instead, it should nurtured as a skill in its own right.
Ethan Mollick, of Wharton Business School in Pennsylvania, argues that firms should nurture managers with the initiative to balance the needs of day-to-day operations against the need to implement the board’s strategy. Middle managers also act as a crucial filter. A large firm may have tens of thousands of employees. The CEO cannot possibly listen to them all.
À la recherche de l'indice
Entendu à la radio ce matin: Le PIB n'est pas un indice parfait, il est trop limité, ne donne pas le portrait, global, etc. etc. etc.
Tout à fait d'accord.
Mais le commentateur (je ne me souviens pas c'est qui) parlait du besoin de trouver en quelque sorte un indice phare, qui serait suffisamment inclusif (en terme de données) pour vraiment mesurer l'état d'une nation.
Pourquoi faire? Pourquoi résumer autant de données, de facteurs, de critères à un seul facteur? Pourquoi ne présenter qu'un seul indice et lui faire dire tout ce qu'on veut? En quoi l'essor d'une nation peut-il se résumer à un seul indice? Et pourquoi n'en avoir qu'un? N'est-ce pas un peu abrutissant? N'est-ce pas essayer de tout résumé en un mot? Résumerait-on un roman en un mot en espérant comprendre l'histoire? Ne sommes nous pas assez intelligent comme peuple pour comprendre plus d'une variable?
Il y a déjà pas mal tout ce qui faut pour analyser (c'est le mot clé ici) la situation et se faire une opinion (PIB, Taux de chômage, Taux de pauvreté, Taux de pollution, etc).
Je refuse que l'on résume ma société à 2 "digit". Forçons-nous un peu de grâce. Il y a comme un consensus à l'effet qu'on vit dans une société qui va trop vite et où la performance prime sur tout. Pour moi, la recherche de l'Indice s'inscrit dans cette lignée.
Je ne sais pas si vous arrivez à me suivre ou si je suis trop dans ma tête...
Tout à fait d'accord.
Mais le commentateur (je ne me souviens pas c'est qui) parlait du besoin de trouver en quelque sorte un indice phare, qui serait suffisamment inclusif (en terme de données) pour vraiment mesurer l'état d'une nation.
Pourquoi faire? Pourquoi résumer autant de données, de facteurs, de critères à un seul facteur? Pourquoi ne présenter qu'un seul indice et lui faire dire tout ce qu'on veut? En quoi l'essor d'une nation peut-il se résumer à un seul indice? Et pourquoi n'en avoir qu'un? N'est-ce pas un peu abrutissant? N'est-ce pas essayer de tout résumé en un mot? Résumerait-on un roman en un mot en espérant comprendre l'histoire? Ne sommes nous pas assez intelligent comme peuple pour comprendre plus d'une variable?
Il y a déjà pas mal tout ce qui faut pour analyser (c'est le mot clé ici) la situation et se faire une opinion (PIB, Taux de chômage, Taux de pauvreté, Taux de pollution, etc).
Je refuse que l'on résume ma société à 2 "digit". Forçons-nous un peu de grâce. Il y a comme un consensus à l'effet qu'on vit dans une société qui va trop vite et où la performance prime sur tout. Pour moi, la recherche de l'Indice s'inscrit dans cette lignée.
Je ne sais pas si vous arrivez à me suivre ou si je suis trop dans ma tête...
All-TIME 100 Best Nonfiction Books selon le Time
mardi 30 août 2011
Deux raisons de plus de résister à la vague Facebook
(1) ... l'étude indique que l'anxiété induite par les objets technologiques, tout comme par les réseaux sociaux, affecte aujourd'hui un tiers des sujets de Sa Majesté, dont 20 % admettent même ne plus être «en contrôle» des outils de communication qui se retrouvent dans leur main.
Ici.
(2) Une étude britannique vient en effet confirmer ce que plusieurs adeptes du tout technologique commencent à soupçonner eux-mêmes: les nouveaux outils de communication seraient en train de créer chez plusieurs humains une dépendance équivalente ou supérieure à celle induite par la cigarette et l'alcool. Rien de moins.
Ici.
Ici.
(2) Une étude britannique vient en effet confirmer ce que plusieurs adeptes du tout technologique commencent à soupçonner eux-mêmes: les nouveaux outils de communication seraient en train de créer chez plusieurs humains une dépendance équivalente ou supérieure à celle induite par la cigarette et l'alcool. Rien de moins.
Ici.
La gestion des cartes géographiques par Google
Billet intéressant paru dans le blogue Triplex de la SRC sur la gestion des cartes géographiques de Google Maps et Google Earth. Ici.
Ce n'est pas aussi objectif qu'on pourrait le croire...
Ce n'est pas aussi objectif qu'on pourrait le croire...
Politico44
Voici une site qui suit Obama et Biden à la trace, affichant même leur agenda. Ici.
Intéressant dans le contexte où je dévore les épisodes de West Wing.
Intéressant dans le contexte où je dévore les épisodes de West Wing.
lundi 29 août 2011
La géopolique de la Syrie expliquée en un dessin
Voici une caricature trouvée ici, sur le site de "The Economist".
Le sens de l'humour d'Obama
Voir ici sur le site de campagne de Barack Obama, une tasse avec une copie de son certificat de naissance et le slogan "Made in USA".
Une belle réplique à ses détracteurs.
Une belle réplique à ses détracteurs.
dimanche 28 août 2011
Une bonne initiative, qu'on doit saluer et ensuite surveiller
"Les commissions scolaires entreprennent un virage à 180 degrés", ici.
Extrait de l'article:
Décidées à vouloir faire taire ceux qui souhaitent leur abolition, les commissions scolaires entreprendront un virage à 180 degrés cet automne visant à simplifier leur administration et à redonner à l'école publique ses lettres de noblesse.
Extrait de l'article:
Décidées à vouloir faire taire ceux qui souhaitent leur abolition, les commissions scolaires entreprendront un virage à 180 degrés cet automne visant à simplifier leur administration et à redonner à l'école publique ses lettres de noblesse.
De l'importance de la lecture
Pour se conforter sur l'importance de la lecture, je suggère cet éditorial de François Cardinal dans La Presse, ici.
J'ai lu - The Founding Brothers, de John Ellis
Ce livre est un récit de moments qui témoignent particulièrement bien, selon l'auteur, de la personnalité des plus marquants pères fondateurs et de l'époque.
Je m'attendais à un récit sur la fondation des États-unis. Pour ça je devrai me rabattre sur un autre livre du même auteur dont j'ai parlé plutôt dans ce blogue... Je n'arrives pas à voir le titre d'ici et ça ne me tente pas de me lever ;-).
Tout de même, c'est un texte passionnant qui me donne très envie d'en savoir plus sur la création du pays, sur Jefferson, Adams et Washington, pour ne nommer que ceux-là.
À classer dans la catégorie "Clairement une référence sur le sujet et qui ne peut être remplacée par Wikipédia".
Il y en a un autre qui commence à m'appeler : Team of rivals, sur le cabinet Lincoln. Mais quelle brique!
Je m'attendais à un récit sur la fondation des États-unis. Pour ça je devrai me rabattre sur un autre livre du même auteur dont j'ai parlé plutôt dans ce blogue... Je n'arrives pas à voir le titre d'ici et ça ne me tente pas de me lever ;-).
Tout de même, c'est un texte passionnant qui me donne très envie d'en savoir plus sur la création du pays, sur Jefferson, Adams et Washington, pour ne nommer que ceux-là.
À classer dans la catégorie "Clairement une référence sur le sujet et qui ne peut être remplacée par Wikipédia".
Il y en a un autre qui commence à m'appeler : Team of rivals, sur le cabinet Lincoln. Mais quelle brique!
J'ai lu - Extension du domaine de la lutte, de Michel Houellebecq
J'ai d'abord choisi ce livre à cause de l'auteur, que je connaissais de renommée, et parce que le titre me semblait franchement "cool".
Que je ne suis pas déçu... wow! Un tout petit livre, pas renversant, pas impressionnant, pas spectaculaire, juste super bon. Super bon pour le style, pour les réflexions, pour les personnages: pas trop clichés, pas trop nuancés, pas trop fins, pas trop cons. Bon pour les réflexions sur la place de l'informatique dans notre société (même si c'est secondaire au sujet du livre). Bon pour l'analogie entre le libéralisme économique et sexuel (d'où l'extension du domaine de la lutte des classes).
Pas de gros punch (je ne suis même pas certain d'avoir compris la fin, mais c'est secondaire). Juste un bon roman, intéressant, bien écrit, qui fait réfléchir et qui est différent.
Dans la catégorie "Pas recommandé à tout le monde mais je relirais dans 10 ans".
C'est mon seul "Houellebecq", mais pas mon dernier.
Que je ne suis pas déçu... wow! Un tout petit livre, pas renversant, pas impressionnant, pas spectaculaire, juste super bon. Super bon pour le style, pour les réflexions, pour les personnages: pas trop clichés, pas trop nuancés, pas trop fins, pas trop cons. Bon pour les réflexions sur la place de l'informatique dans notre société (même si c'est secondaire au sujet du livre). Bon pour l'analogie entre le libéralisme économique et sexuel (d'où l'extension du domaine de la lutte des classes).
Pas de gros punch (je ne suis même pas certain d'avoir compris la fin, mais c'est secondaire). Juste un bon roman, intéressant, bien écrit, qui fait réfléchir et qui est différent.
Dans la catégorie "Pas recommandé à tout le monde mais je relirais dans 10 ans".
C'est mon seul "Houellebecq", mais pas mon dernier.
J'ai lu - Dérives, de Biz
Dérives de Biz.
Reçu en cadeau à peu près lors de la naissance de ma fille... sauf que... ça raconte la dépression du personnage (probablement Biz lui-même) lors de la naissance de son fils. Oups!
Mauvais timing pour la lecture, à moins de chercher vraiment à se déstabiliser. Pas pour rien que ça m'a pris plus d'un le terminer (94 pages). En fait 1 an pour lire 20 pages et 1 heure pour lire les 74 pages restantes. Je l'avais commencé et déposer sur ma table de chevet en attendant qu'il m'appelle (j'ai déjà écrit sur les livres qui m'appelle). C'est finalement arrivé.
J'ai une drôle d'émotion face à ce livre. Il m'a fallu les 2/3 pour le trouver intéressant. Et à la fin, j'en aurais repris. Je commençais à m'habituer à son univers.
Le style est spécial. Un chapitre raconte, de façon métaphorique, un voyage sur un radeau dans un marais. On reconnaît rapidement (c'est correct ainsi) qu'il est question d'une analogie sur la dépression. Il m'a fallu un temps pour m'habituer à cette partie du livre (un chapitre sur deux) qui est très glauque. L'autre "chapitre sur deux" est la vie de tous les jours du personnage principal, qui souffre d'une dépression. On devine que tout son univers prend le bord et qu'il est "scotché" à son lit (son radeau je suppose). Un peu de difficulté encore une fois. Je trouvais le style très simpliste, très cliché. Sauf qu'on arrive à comprendre le personnage et à avoir de la sympathie pour lui.
À la fin, j'en aurais repris un peu.
Le véritable mérite de ce livre est de mettre la dépression en vedette, dans le rôle de la méchante mais quand même, en vedette. On ne l'aime pas plus, mais on comprend à quel point elle est sournoise la salope. On arrive aussi à la différencier de celui qui la porte.
Je reconnais aussi le courage de l'auteur pour avoir surmonter sa dépression (si c'est bien de lui dont il est question) et pour en témoigner publiquement.
Je ne me sens pas particulièrement proche d'être victime d'une dépression. Pas plus qu'un autre. Je crois seulement que c'est quelque chose qui nous guette dans ces années où tout va vite et où la performance compte autant. Je la "watch"... pour ne pas qu'elle m'attrape.
Je classe ce livre dans la catégorie "Pas sûr sûr mais je ne regrette pas de l'avoir lu". Contrairement au précédent "Phenicia" que je classerais plutôt dans "Bof, une soirée sur Wikipédia ferait tout aussi bien la job".
Reçu en cadeau à peu près lors de la naissance de ma fille... sauf que... ça raconte la dépression du personnage (probablement Biz lui-même) lors de la naissance de son fils. Oups!
Mauvais timing pour la lecture, à moins de chercher vraiment à se déstabiliser. Pas pour rien que ça m'a pris plus d'un le terminer (94 pages). En fait 1 an pour lire 20 pages et 1 heure pour lire les 74 pages restantes. Je l'avais commencé et déposer sur ma table de chevet en attendant qu'il m'appelle (j'ai déjà écrit sur les livres qui m'appelle). C'est finalement arrivé.
J'ai une drôle d'émotion face à ce livre. Il m'a fallu les 2/3 pour le trouver intéressant. Et à la fin, j'en aurais repris. Je commençais à m'habituer à son univers.
Le style est spécial. Un chapitre raconte, de façon métaphorique, un voyage sur un radeau dans un marais. On reconnaît rapidement (c'est correct ainsi) qu'il est question d'une analogie sur la dépression. Il m'a fallu un temps pour m'habituer à cette partie du livre (un chapitre sur deux) qui est très glauque. L'autre "chapitre sur deux" est la vie de tous les jours du personnage principal, qui souffre d'une dépression. On devine que tout son univers prend le bord et qu'il est "scotché" à son lit (son radeau je suppose). Un peu de difficulté encore une fois. Je trouvais le style très simpliste, très cliché. Sauf qu'on arrive à comprendre le personnage et à avoir de la sympathie pour lui.
À la fin, j'en aurais repris un peu.
Le véritable mérite de ce livre est de mettre la dépression en vedette, dans le rôle de la méchante mais quand même, en vedette. On ne l'aime pas plus, mais on comprend à quel point elle est sournoise la salope. On arrive aussi à la différencier de celui qui la porte.
Je reconnais aussi le courage de l'auteur pour avoir surmonter sa dépression (si c'est bien de lui dont il est question) et pour en témoigner publiquement.
Je ne me sens pas particulièrement proche d'être victime d'une dépression. Pas plus qu'un autre. Je crois seulement que c'est quelque chose qui nous guette dans ces années où tout va vite et où la performance compte autant. Je la "watch"... pour ne pas qu'elle m'attrape.
Je classe ce livre dans la catégorie "Pas sûr sûr mais je ne regrette pas de l'avoir lu". Contrairement au précédent "Phenicia" que je classerais plutôt dans "Bof, une soirée sur Wikipédia ferait tout aussi bien la job".
jeudi 25 août 2011
J'ai lu - Phénicia, de Alexandre Najjar
Je viens de terminer ce petit roman (environ 175 pages).
Pour dire vrai, je n'ai pas aimé.
Je trouvais la prémisse initiale très intéressante: Alexandre le Grand, la Phénicie, Carthage, etc.
Mais le résultat n'est pas à la hauteur de mes attentes. Histoire qui reste en surface et qui passe trop rapidement, nombreux clichés (le père méchant, l'oncle bienveillant, l'adolescente rebelle, le roi égocentrique, l'époux éloigné mais ô combien amoureux, etc.
On sent bien un souci pour les détails historiques. Mais Wikipédia n'est pas moins passionnant pour ça.
J'avais choisi ce livre parce que cette époque et cette région m'intéressent. Il a même gagné un prix (ça donne confiance).
Mais au final, je n'en tire pas vraiment d'expérience de lecture mémorable.
PS: J'ai aimé le prologue et l'épilogue. Époque différente, récit plus étoffé, etc.
Pour dire vrai, je n'ai pas aimé.
Je trouvais la prémisse initiale très intéressante: Alexandre le Grand, la Phénicie, Carthage, etc.
Mais le résultat n'est pas à la hauteur de mes attentes. Histoire qui reste en surface et qui passe trop rapidement, nombreux clichés (le père méchant, l'oncle bienveillant, l'adolescente rebelle, le roi égocentrique, l'époux éloigné mais ô combien amoureux, etc.
On sent bien un souci pour les détails historiques. Mais Wikipédia n'est pas moins passionnant pour ça.
J'avais choisi ce livre parce que cette époque et cette région m'intéressent. Il a même gagné un prix (ça donne confiance).
Mais au final, je n'en tire pas vraiment d'expérience de lecture mémorable.
PS: J'ai aimé le prologue et l'épilogue. Époque différente, récit plus étoffé, etc.
mardi 23 août 2011
Suivre Karine Champagne
Je ne connaissais pas vraiment Karine Champagne de TVA (LCN). Voici son blogue. Ici.
J'ai aimé ce que j'ai y ai lu. Tout d'abord parce que c'est une femme engagée dans le sport de haut niveau et qui en parle avec passion, à nous en donner envie.
Ensuite parce qu'elle est positive et invite les gens à se dépasser.
Finalement, parce qu'elle a fait une dépression et a eu le courage d'en parler sur son blogue. Bravo!
J'ai aimé ce que j'ai y ai lu. Tout d'abord parce que c'est une femme engagée dans le sport de haut niveau et qui en parle avec passion, à nous en donner envie.
Ensuite parce qu'elle est positive et invite les gens à se dépasser.
Finalement, parce qu'elle a fait une dépression et a eu le courage d'en parler sur son blogue. Bravo!
Nous serons bientôt 7 milliards ...
Excellent édito de Mario Roy dans La Presse de lundi sur la population mondiale qui atteindra 7 milliards. Ici.
Je l'aime celui-là. Il est brillant et a toujours un point de vue pertinent.
Voici un extrait:
Enfin, 7 milliards d'êtres humains, c'est aussi 7 milliards de cerveaux! Avec la seule arme que l'évolution lui a donnée, l'intelligence, l'espèce a à ce jour vaincu tous les problèmes qui se sont présentés à elle. Et il n'y a pas de raisons pour que ça s'arrête: s'il faut entretenir une foi quelconque, c'est en l'homme qu'il faut la placer.
Or, face aux problèmes - car il y en a - liés à l'augmentation de la population, l'intelligence et la foi en nos propres moyens ne seront pas superflues.
Je l'aime celui-là. Il est brillant et a toujours un point de vue pertinent.
Voici un extrait:
Enfin, 7 milliards d'êtres humains, c'est aussi 7 milliards de cerveaux! Avec la seule arme que l'évolution lui a donnée, l'intelligence, l'espèce a à ce jour vaincu tous les problèmes qui se sont présentés à elle. Et il n'y a pas de raisons pour que ça s'arrête: s'il faut entretenir une foi quelconque, c'est en l'homme qu'il faut la placer.
Or, face aux problèmes - car il y en a - liés à l'augmentation de la population, l'intelligence et la foi en nos propres moyens ne seront pas superflues.
dimanche 21 août 2011
Un cadeau de Gil Courtemance
Ici une chronique publiée dans Le Devoir d'hier en guise de souvenir (cadeau) de Gil Courtemanche.
Je ne connaissais de lui que ses chroniques dans Le Devoir du samedi. Que je lisais religieusement. Je n'ai jamais lu ses livres par contre.
Je ne connaissais de lui que ses chroniques dans Le Devoir du samedi. Que je lisais religieusement. Je n'ai jamais lu ses livres par contre.
vendredi 19 août 2011
mardi 9 août 2011
The West Wing pourrait inspirer Obama
Je viens d'écouter 2 épisodes de The West Wing qui me font penser beaucoup à Obama en ce moment: popularité au plus bas, n'arrive pas à rien faire débloquer d'apparent, moral des troupes bas, etc. L'équipe du président dans l'émission arrive à renverser la tendance par une série de décisions courageuses et un retour à la vision initiale du président.
Bon, je sais que c'est juste un show de télé... mais quand même. J'étais un fan d'Obama mais on dirait qu'il n'a plus le "guts" (ni le congrès) pour faire les changements qu'ils proposaient.
Faut dire que la politique américaine est une drôle de bête. Mais à trop vouloir travailler pour sa réélection, on en oublies sûrement les vrais enjeux.
Bon, je sais que c'est juste un show de télé... mais quand même. J'étais un fan d'Obama mais on dirait qu'il n'a plus le "guts" (ni le congrès) pour faire les changements qu'ils proposaient.
Faut dire que la politique américaine est une drôle de bête. Mais à trop vouloir travailler pour sa réélection, on en oublies sûrement les vrais enjeux.
samedi 6 août 2011
Ban Ki-moon demande directement à Al-Assad la fin des violences en Syrie
Ici.
Mon commentaire: Ça a pris tout ce temps pour lui lâcher un coup de fil et lui dire de se calmer? Bravo pour le "guts" M. Ki-moon.
Mon commentaire: Ça a pris tout ce temps pour lui lâcher un coup de fil et lui dire de se calmer? Bravo pour le "guts" M. Ki-moon.
Ingénieur logiciel, une profession peu stressante?
C'est ce que prétend un sondage/étude cité sur le site du Time et qui place la profession d'ingénieur logiciel en 3e position des jobs les moins stressantes. Ici.
Je conteste. C'est un travail exigeant qui amène un grand lot de responsabilités, de rigueur et d’immutabilité et incidemment, de stress.
Je conteste. C'est un travail exigeant qui amène un grand lot de responsabilités, de rigueur et d’immutabilité et incidemment, de stress.
Citation du jour
"La civilisation, au vrai sens du terme, ne consiste pas à multiplier les besoins, mais à les limiter volontairement. C'est le seul moyen pour connaître le vrai bonheur et nous rendre plus disponible aux autres [...] Il faut un minimum de bien-être et de confort ; mais, passé cette limite, ce qui devait nous aider devient une source de gêne. Vouloir créer un nombre illimité de besoins pour avoir ensuite à les satisfaire n'est que poursuivre du vent. Ce faux idéal n'est qu'un traquenard."
Mahatma Gandhi - 1869-1948 - Lettre à l'âshram - 1971
Mahatma Gandhi - 1869-1948 - Lettre à l'âshram - 1971
The West Wing
Wow!!! Quelle série passionnante. Je dévore depuis 2-3 semaines. Encore 5 saisons et demi à écouter.
The Walrus
J'ai découvert récemment le magazine canadien "The Walrus". Je me suis abonné après avoir lu un ou deux trucs intéressant et vu le faible prix (20$ par année). J'ai laissé mes exemplaires prendre la poussière jusqu'à la semaine dernière ou une semaine de vacances sur le bord d'un lac m'ont donné envie de les lire (je les avait amené). J'ai vraiment apprécié. De longs textes, pas nécessairement neutres mais bien écrits et qui font réagir/font réfléchir.
Voici une description du magazine prise sur Wikipédia:
The Walrus is a Canadian general interest magazine which publishes long form journalism on Canadian and international affairs, along with fiction and poetry by Canadian writers. It launched in September 2003, as an attempt to create a Canadian equivalent to American magazines such as Harper's, The Atlantic Monthly or The New Yorker. The magazine's mandate is "to be a national general interest magazine about Canada and its place in the world. We are committed to publishing the best work by the best writers from Canada and elsewhere on a wide range of topics for readers who are curious about the world."
Je ferai le lien prochainement vers 2 articles. Le site du magazine est actuellement non-fonctionnel.
Voici une description du magazine prise sur Wikipédia:
The Walrus is a Canadian general interest magazine which publishes long form journalism on Canadian and international affairs, along with fiction and poetry by Canadian writers. It launched in September 2003, as an attempt to create a Canadian equivalent to American magazines such as Harper's, The Atlantic Monthly or The New Yorker. The magazine's mandate is "to be a national general interest magazine about Canada and its place in the world. We are committed to publishing the best work by the best writers from Canada and elsewhere on a wide range of topics for readers who are curious about the world."
Je ferai le lien prochainement vers 2 articles. Le site du magazine est actuellement non-fonctionnel.
En train de lire
"The Founding Brothers", par John Ellis.
Ce livre a remporté un prix Pullitzer.
L'auteur raconte six moments marquants dans la fondation et les premières années des États-Unis.
Comme je suis très intéressé par l'histoire américaine, je trouve ce livre particulièrement intéressant. Ce n'est pas par contre, comme je le croyais, un livre sur la fondation des USA. Mais c'est là son intérêt finalement. Il va plus loin que l'histoire connue et racontée un peu partout. On y lit plusieurs détails sur des tractations dans les coulisses du pouvoir de ce nouveau pays. Et pour satisfaire d'histoire plus classique sur la fondation des États-Unis, j'ai acheté "American Creation", du même auteur.
Il a également écrit "His Excellency", une bio de George Washington que j'ajouterai à ma bibliothèque. L'auteur me plaît beaucoup par sa rigueur et son objectivité.
Ce livre a remporté un prix Pullitzer.
L'auteur raconte six moments marquants dans la fondation et les premières années des États-Unis.
Comme je suis très intéressé par l'histoire américaine, je trouve ce livre particulièrement intéressant. Ce n'est pas par contre, comme je le croyais, un livre sur la fondation des USA. Mais c'est là son intérêt finalement. Il va plus loin que l'histoire connue et racontée un peu partout. On y lit plusieurs détails sur des tractations dans les coulisses du pouvoir de ce nouveau pays. Et pour satisfaire d'histoire plus classique sur la fondation des États-Unis, j'ai acheté "American Creation", du même auteur.
Il a également écrit "His Excellency", une bio de George Washington que j'ajouterai à ma bibliothèque. L'auteur me plaît beaucoup par sa rigueur et son objectivité.
dimanche 31 juillet 2011
dimanche 3 juillet 2011
Se reconstruire en zone inondable
Cet édito reflète plutôt bien ma pensée. Ici.
Quelques extraits:
Autrement dit, on offre à ceux qui veulent rester les deux pieds dans l’eau de le faire, à condition qu’ils renoncent à tout jamais aux indemnisations gouvernementales. Vous êtes assez fous pour couler à nouveau des fondations en pleine rivière? Soit, mais ne venez pas nous demander de l’aide lorsque l’eau montera.
Ainsi, la responsabilité est transférée du gouvernement aux propriétaires (comme je le disais en édito, ce n’est pas à l’État de se porter garant de maisons que personne ne veut assurer!).
J'aimerais bien avoir le fin fond de la pensée du gouvernement. Il doit bien y avoir quelques éléments valables qu'on ne voit pas.
Quelques extraits:
Autrement dit, on offre à ceux qui veulent rester les deux pieds dans l’eau de le faire, à condition qu’ils renoncent à tout jamais aux indemnisations gouvernementales. Vous êtes assez fous pour couler à nouveau des fondations en pleine rivière? Soit, mais ne venez pas nous demander de l’aide lorsque l’eau montera.
Ainsi, la responsabilité est transférée du gouvernement aux propriétaires (comme je le disais en édito, ce n’est pas à l’État de se porter garant de maisons que personne ne veut assurer!).
J'aimerais bien avoir le fin fond de la pensée du gouvernement. Il doit bien y avoir quelques éléments valables qu'on ne voit pas.
De la chute des régimes totalitaires
Je suis en train de dévorer "1989, The fall of the soviet empire". Un ouvrage vraiment excellent. Et l'auteur semble très crédible, sans compter les très nombreuses références qui appuient son propos.
Il me vient une réflexion par contre en lisant ce livre. La chute des régimes du bloc de l'Est m'apparaît comme inévitable. Elle devait arriver. Comment expliquer alors qu'il en existe encore aujourd'hui? Qu'est-ce qui est différent? À la limite je peux comprendre pour la Corée du Nord où l'oppression semble avoir éteint toute différence au sein du peuple.
Qu'est-ce qui fait que ces régimes survivent?
Faisons abstraction de ceux qui se maintiennent à cause d'idéologie religieuse. Et encore, est-ce vraiment différent de l'idéologie communiste de l'époque, dans sa forme?
Je peux voir une foule de parallèles avec l'URSS et les pays du Pacte de Varsovie.
Une belle piste de lecture et de réflexion.
PS: C'est cet article et sa photo qui m'ont mis sur la piste de cette réflexion, ici.
Il me vient une réflexion par contre en lisant ce livre. La chute des régimes du bloc de l'Est m'apparaît comme inévitable. Elle devait arriver. Comment expliquer alors qu'il en existe encore aujourd'hui? Qu'est-ce qui est différent? À la limite je peux comprendre pour la Corée du Nord où l'oppression semble avoir éteint toute différence au sein du peuple.
Qu'est-ce qui fait que ces régimes survivent?
Faisons abstraction de ceux qui se maintiennent à cause d'idéologie religieuse. Et encore, est-ce vraiment différent de l'idéologie communiste de l'époque, dans sa forme?
Je peux voir une foule de parallèles avec l'URSS et les pays du Pacte de Varsovie.
Une belle piste de lecture et de réflexion.
PS: C'est cet article et sa photo qui m'ont mis sur la piste de cette réflexion, ici.
Naissance d'un nouveau pays dans 6 jours
Le Sud-Soudan est sur le point de naître. Il en est question ici.
La naissance d'un pays... c'est quand même exceptionnel. Il y en a bien eu quelques-uns depuis 30 ans avec la chute de l'URSS, puis de la Yougoslavie. Mais quand même, ça demeure un évènement rare.
J'espère qu'on en entendra parler dans les médias.
La naissance d'un pays... c'est quand même exceptionnel. Il y en a bien eu quelques-uns depuis 30 ans avec la chute de l'URSS, puis de la Yougoslavie. Mais quand même, ça demeure un évènement rare.
J'espère qu'on en entendra parler dans les médias.
Quelques mythes alimentaires
Des petites capsules vidéos très intéressantes et très courtes.
Ils adressent quelques mythes reliés à l'alimentation.
Ici.
Ils adressent quelques mythes reliés à l'alimentation.
Ici.
mardi 21 juin 2011
Pendant ce temps-là au Sud-Soudan
Il semble que ça ne soit malheureusement pas un sans faute au Sud-Soudan. Un conflit (re)prend forme dans certaines régions limitrophes. C'était à prévoir.
À surveiller, avec espoir.
À surveiller, avec espoir.
lundi 20 juin 2011
Je veux lire
Le Québec: Territoire incertain
Ici.
L'un des auteurs a fait des entrevues avec Radio-Canada, dont Serge Bouchard aux Chemins de travers et aussi à L'actualité (15 juin 2011).
Ici.
L'un des auteurs a fait des entrevues avec Radio-Canada, dont Serge Bouchard aux Chemins de travers et aussi à L'actualité (15 juin 2011).
Tiens ton Plan Nord!!!
Citation de Richard Desjardins dans L'actualité:
"J'ai du mal à entendre parler du Plan Nord alors que les indiens de Kitcisakik n'ont pas l'électrictié."
Percutant.
"J'ai du mal à entendre parler du Plan Nord alors que les indiens de Kitcisakik n'ont pas l'électrictié."
Percutant.
Wheels on the desks?
Entrevue intéressant, ici, avec Gabe Newell, président de Valve, une compagnie de jeux vidéo américaine.
Ils ont une approche vraiment "out-of-the-box" qui n'est pas unique (on en parlait aux HEC en 1997) mais qui est tout de même rare.
J'aime particulièrement cet extrait:
The interesting thing is, that approach leaves you with so many avenues to go down. And as stretched as you are with resources, I have no idea why you don’t hire 50 new people to get more done.
Well, we’ll hire anyone who walks through the door who can pass our review process. The problem is very few people can do that successfully.
The cost of lowering those standards is huge.
Ils ont une approche vraiment "out-of-the-box" qui n'est pas unique (on en parlait aux HEC en 1997) mais qui est tout de même rare.
J'aime particulièrement cet extrait:
The interesting thing is, that approach leaves you with so many avenues to go down. And as stretched as you are with resources, I have no idea why you don’t hire 50 new people to get more done.
Well, we’ll hire anyone who walks through the door who can pass our review process. The problem is very few people can do that successfully.
The cost of lowering those standards is huge.
Bel hommage à Gilles Duceppe
Voici un texte de Yves Boisvert qui rend un bel hommage à Gilles Duceppe. Ici.
On ne pourra pas l'accuser (M. Boisvert) de suivre la ligne du journal. Bravo de faire la distinction entre la valeur d'un homme et ses convictions politiques.
On ne pourra pas l'accuser (M. Boisvert) de suivre la ligne du journal. Bravo de faire la distinction entre la valeur d'un homme et ses convictions politiques.
Petit mot ouvert (une lettre ouverte en format très abrégé) aux nouveaux et (très) jeunes députés du NPD
Bravo à tous.
Rappelez-vous que ce qui vous distingue (ce n'est pas nécessairement pour ça qu'on vous a élu mais tant qu'à y être, aussi bien miser sur ça), c'est votre jeunesse.
De grâce, face à politique et tous ces jeux (et non ses enjeux), garder votre fraîcheur, vos idéaux, vos principes et votre candeur.
Certes, plusieurs d'entre vous sont très jeunes et leur jugement peut parfois paraître douteux aux yeux des plus vieux. Mais justement, il faut casser le moule. Allez-y, dites ce que vous pensez. Forcez les gens à voir différemment, à voir ailleurs, à voir plus large.
Ce n'est pas pour ça qu'on vous a élu, mais ça pourrait (ça devrait) être votre plus grande votre force.
Bon succès!
Rappelez-vous que ce qui vous distingue (ce n'est pas nécessairement pour ça qu'on vous a élu mais tant qu'à y être, aussi bien miser sur ça), c'est votre jeunesse.
De grâce, face à politique et tous ces jeux (et non ses enjeux), garder votre fraîcheur, vos idéaux, vos principes et votre candeur.
Certes, plusieurs d'entre vous sont très jeunes et leur jugement peut parfois paraître douteux aux yeux des plus vieux. Mais justement, il faut casser le moule. Allez-y, dites ce que vous pensez. Forcez les gens à voir différemment, à voir ailleurs, à voir plus large.
Ce n'est pas pour ça qu'on vous a élu, mais ça pourrait (ça devrait) être votre plus grande votre force.
Bon succès!
Résistance ou résilience?
Entendu récemment (je ne me souviens pas du tout par qui, quand et comment).
On entend souvent des souverainistes de résistance. Ne devrait-on pas plutôt parler de résilience?
On entend souvent des souverainistes de résistance. Ne devrait-on pas plutôt parler de résilience?
Un point de vue pertinent concernant le Plan Nord
Jean-Robert Sansfaçon du Devoir est reconnu comme la sommité montréalaise en journalisme environnemental. Excellent papier sur le Plan Nord où il ramène à notre mémoire la fermeture de la ville de Gagnon, pour ne nommer que celle-là. Ici.
Il reproche entre autre le fait que les employés du nouveau projet de Fermont n'y résideront pas pour la plupart, sauf durant leur quart de travail, et encore, ils seront probablement logés sur un camp.
Une vraie approche globale aurait été de favoriser l'implantation de familles en région, histoire de créer un bassin de population viable, avec des institutions, une économie, et une communauté solide. C'est une stratégie qui miserait sur la pérennité des régions et sur un vrai développement du territoire.
Il reproche entre autre le fait que les employés du nouveau projet de Fermont n'y résideront pas pour la plupart, sauf durant leur quart de travail, et encore, ils seront probablement logés sur un camp.
Une vraie approche globale aurait été de favoriser l'implantation de familles en région, histoire de créer un bassin de population viable, avec des institutions, une économie, et une communauté solide. C'est une stratégie qui miserait sur la pérennité des régions et sur un vrai développement du territoire.
L'encyclopédie parlée et imagée.
Découvrez Qwiki. Une encyclopédie parlée et imagée.
Fondamentalement, rien de génial (selon moi). Un logiciel lit un texte et le transforme sous la forme d'un exposé oral. C'est accompagné de photos. Il ne semble pas que ce soit une encyclopédie collaborative et les sources ne sont pas explicites (rien trouvé à cet effet). Mais elle m'apparaît tout de même assez vaste et rigoureuse.
Là où j'applaudis, c'est que ça démocratise l'accès au savoir. Ça rend attrayant la recherche sur tel ou tel sujet, évitant ainsi une lecture parfois longue et ardue d'un texte. La présentation (son, look, etc.) est très agréable.
Quand on regarde qui sont les artisans, on se dit que ça a l'air en plus d'un beau trip de gang.
Il en a été question ici. Qwiki est ici.
Fondamentalement, rien de génial (selon moi). Un logiciel lit un texte et le transforme sous la forme d'un exposé oral. C'est accompagné de photos. Il ne semble pas que ce soit une encyclopédie collaborative et les sources ne sont pas explicites (rien trouvé à cet effet). Mais elle m'apparaît tout de même assez vaste et rigoureuse.
Là où j'applaudis, c'est que ça démocratise l'accès au savoir. Ça rend attrayant la recherche sur tel ou tel sujet, évitant ainsi une lecture parfois longue et ardue d'un texte. La présentation (son, look, etc.) est très agréable.
Quand on regarde qui sont les artisans, on se dit que ça a l'air en plus d'un beau trip de gang.
Il en a été question ici. Qwiki est ici.
The meaning of focus
Steve Jobs says no many times
A big part of Steve Jobs’ success has been to shed all the good ideas that don’t make the final cut. Carmine Gallo in an interesting article, “Steve Jobs: Get Rid Of the Crappy Stuff” writes: “Editing also leads to great product designs and effective communications. According to Steve Jobs, ‘People think focus means saying yes to the thing you’ve got to focus on. But that’s not what it means at all. It means saying no to the hundred other good ideas that there are. You have to pick carefully. I’m actually as proud of the things we haven’t done as the things I have done. Innovation is saying ‘no’ to 1,000 things.’”
A big part of Steve Jobs’ success has been to shed all the good ideas that don’t make the final cut. Carmine Gallo in an interesting article, “Steve Jobs: Get Rid Of the Crappy Stuff” writes: “Editing also leads to great product designs and effective communications. According to Steve Jobs, ‘People think focus means saying yes to the thing you’ve got to focus on. But that’s not what it means at all. It means saying no to the hundred other good ideas that there are. You have to pick carefully. I’m actually as proud of the things we haven’t done as the things I have done. Innovation is saying ‘no’ to 1,000 things.’”
dimanche 29 mai 2011
J'ai lu
La machine à explorer le temps de HG Wells.
De l'excellente science-fiction. Mention spéciale à la dernière phrase du roman.
jeudi 19 mai 2011
Parce qu'il faut voter
Jean-François Lisée a chroniqué dernièrement sur l'importance que les jeunes votent. Je ne retrouve pas sa chronique sur le web mais ça s'appelait "Cessons de repousser les électeurs". C'était dans L'actualité du 15 mai.
Ce qui m'a intéressé est sa présentation de certaines initiatives qui ont cours dans d'autres pays. Avenues à explorer il me semble.
Ce qui m'a intéressé est sa présentation de certaines initiatives qui ont cours dans d'autres pays. Avenues à explorer il me semble.
Bravo!
Initiative fantastique d'un coach de hockey que de faire lire des livres à ces joueurs. Paru dans L'actualité. Ici.
Bravo!
Quelques extraits:
Dans le vestiaire, ils rangent leur équipement et sortent de leur sac une pochette en plastique. À l'intérieur ? Un roman jeunesse, un cahier, un crayon ! Tous les lundis, ces jeunes Acadiens discutent en petits groupes de la dizaine de pages qu'ils ont lues à la maison au cours de la semaine précédente. Leur entraîneur et quelques papas animent les échanges.
« L'entraîneur a une grande influence, dit Manon Jolicœur, qui étudie pour son doctorat les facteurs de motivation à la lecture. Des jeunes ont dit à leurs parents qu'ils n'oseraient pas se présenter dans le vestiaire sans avoir lu ! »
Bravo!
Quelques extraits:
Dans le vestiaire, ils rangent leur équipement et sortent de leur sac une pochette en plastique. À l'intérieur ? Un roman jeunesse, un cahier, un crayon ! Tous les lundis, ces jeunes Acadiens discutent en petits groupes de la dizaine de pages qu'ils ont lues à la maison au cours de la semaine précédente. Leur entraîneur et quelques papas animent les échanges.
« L'entraîneur a une grande influence, dit Manon Jolicœur, qui étudie pour son doctorat les facteurs de motivation à la lecture. Des jeunes ont dit à leurs parents qu'ils n'oseraient pas se présenter dans le vestiaire sans avoir lu ! »
Au sujet de la paix palestinienne
Le Devoir a publié un compte-rendu assez fouillé de la paix signée entre le Fatah et le Hamas. Le genre d'explications qu'on ne trouve qu'au Devoir et qui donne un éclairage plus approfondi. Ici. Encore une fois réservé aux abonnés. Le titre est "La paix palestinienne". C'était dans le numéro du 7 mai.
PS: Barack Obama s'est prononcé aujourd'hui sur les frontières de 1967. Il me semble qu'on n'a pas souvent (jamais?) entendu pareil "statement" de la part des USA. Mais je ne suis pas certain de ce que j'avance.
PS: Barack Obama s'est prononcé aujourd'hui sur les frontières de 1967. Il me semble qu'on n'a pas souvent (jamais?) entendu pareil "statement" de la part des USA. Mais je ne suis pas certain de ce que j'avance.
Sur les travaux du NPD
Le très pertinent Gil Courtemanche (selon moi) a fait la liste des devoirs du NPD dans une récente chronique. Ici.
C'est un texte généralement posé à l'endroit du NPD. J'aime bien l'angle et le ton.
C'est un texte généralement posé à l'endroit du NPD. J'aime bien l'angle et le ton.
Commentaires acerbes concernant le DSQ
Michel David a publié récemment une chronique virulente contre le ministre de la santé au sujet du DSQ dont je parlais plus bas. Ici. Malheureusement, c'est réservé aux abonnés. Il y a peut-être une copie quelque part sur le web. Le titre est "Tripotage et mensonge".
Les plus belles bibliothèques du monde
Trouvé sur le site de L'actualité. Ici.
Mais ou est la Grande Bibliothèque du Québec?
Mais ou est la Grande Bibliothèque du Québec?
Un plan Nord qui oubli un pan du nord
Sophie Cousineau a publié récemment une chronique intitulée "De quel Nord veut-on?" dans laquelle elle adresse la situation des populations dans cette région. Je trouvais justement qu'on faisait abstraction de cela dans les commentaires sur le plan, et dans le plan en soit.
Sa chronique est ici.
Sa chronique est ici.
Connaître son dossier de crédit
Je viens de recevoir par la poste un de mes deux dossiers de crédit que j'avais commandé.
Pourquoi? Simplement pour vérifier si l'information qu'ils détiennent sur moi est exacte, et la corriger au besoin. Après tout, un dossier de crédit, c'est énormément d'informations personnelles et un peu beaucoup notre réputation auprès des banques et des compagnies d'assurance, de télécommunication, etc.
C'est une habitude annuelle chez moi que de demander mon dossier. Mais c'est la première fois que je le fais avec les 2 compagnies (Equifax et Transunion) et que je le demande par écrit et par la poste. Résultat, c'est gratuit plutôt que de payer pour l'avoir en-ligne.
Je répète, c'est gratuit... personne ne devrait s'en passer. C'est essentiel de surveiller son "dossier". C'est assez rare qu'on peut le faire, profitons-en.
Formulaire d'Equifax: Ici
Détails pour Transunion: Ici
Dans le même ordre d'idée, je recommande le site de l'Agence de la consommation en matière financière du Canada, ici.
L'Agence de la consommation en matière financière du Canada (ACFC) est un organisme indépendant qui a pour mandat d'informer et de protéger les consommateurs de produits et services financiers.
Voici des exemples du contenu de ce site:
Comprendre votre dossier de crédit et votre pointage de crédit, ici.
Cartes de crédit - à vous de choisir : toute l'information qu'il vous faut sur les cartes de crédit, ici.
Calculatrice hypothécaire : quel prêt hypothécaire pouvez-vous gérer, ici.
Pourquoi? Simplement pour vérifier si l'information qu'ils détiennent sur moi est exacte, et la corriger au besoin. Après tout, un dossier de crédit, c'est énormément d'informations personnelles et un peu beaucoup notre réputation auprès des banques et des compagnies d'assurance, de télécommunication, etc.
C'est une habitude annuelle chez moi que de demander mon dossier. Mais c'est la première fois que je le fais avec les 2 compagnies (Equifax et Transunion) et que je le demande par écrit et par la poste. Résultat, c'est gratuit plutôt que de payer pour l'avoir en-ligne.
Je répète, c'est gratuit... personne ne devrait s'en passer. C'est essentiel de surveiller son "dossier". C'est assez rare qu'on peut le faire, profitons-en.
Formulaire d'Equifax: Ici
Détails pour Transunion: Ici
Dans le même ordre d'idée, je recommande le site de l'Agence de la consommation en matière financière du Canada, ici.
L'Agence de la consommation en matière financière du Canada (ACFC) est un organisme indépendant qui a pour mandat d'informer et de protéger les consommateurs de produits et services financiers.
Voici des exemples du contenu de ce site:
Comprendre votre dossier de crédit et votre pointage de crédit, ici.
Cartes de crédit - à vous de choisir : toute l'information qu'il vous faut sur les cartes de crédit, ici.
Calculatrice hypothécaire : quel prêt hypothécaire pouvez-vous gérer, ici.
mardi 10 mai 2011
Le Plan Nord
François Cardinal a publié un topo/édito assez complet et assez positif selon moi. Ici.
Je suis mi-figue, mi-raisin. Fondamentalement en accord. Mais en général je trouve qu'ils en mettent un peu trop. Trop de crème fouetté sur un café latté, ça dilue le goût un peu. Excusez l'analogie crèmeuse. Mais c'est un peu mon impression. Celle-ci mise à part, c'est une initiative qui m'apparaît souhaitable et créatrice de richesse pour le grand Nous, les Québécois.
Un seul vrai bémol, et un gros. Bravo pour l'environnement, bravo pour les ressources naturelles, bravo pour les logements sociaux. Mais l'éducation... Et les services sociaux? Il me semble que le premier article du Plan Nord aurait dû être d'assurer un niveau de service en éducation et en services sociaux aux habitants du Grand Nord équivalent à ceux du sud. Si on se targue que le nord fait partie intégrante du Québec et qu'on s'en enrichie, on devrait TOUT mettre en oeuvre pour que ses habitants aient accès aux mêmes services que nous ici dans le sud. C'est cher? Et alors? Certains habitants ne mériteraient pas d'avoir accès aux mêmes services sous prétexte qu'ils sont loin? Ce n'est pas complètement la juridiction du provincial? Et alors? Avec un plan de cette envergure, ne peut-on pas tout mettre en oeuvre pour tirer sur les bonnes ficelles et "make the things happens", à défaut de mieux le dire en français.
Je ne sais pas exactement ce qu'ils ont dans le nord, ni qui fait quoi. Mais je sais, tout le monde sait, que ce n'est pas l'équivalent d'ici. Il me semble que ça commence par là.
Ce qui est malheureux, c'est que personne n'en parle en ce moment lorsqu'ils commentent le Plan Nord.
PS: Pourquoi faire l'annonce à Lévis au lieu de Chibougameau, Matagami, Radisson ou Kuujuuaq? Drôle de message.
PS2: Est-ce pertinent de faire l'annonce pendant que toute une région a les 2 pieds dans l'eau? Pourquoi annoncer autant de milliards au moment où ils perdent des milliers de dollars? Drôle de message.
Je suis mi-figue, mi-raisin. Fondamentalement en accord. Mais en général je trouve qu'ils en mettent un peu trop. Trop de crème fouetté sur un café latté, ça dilue le goût un peu. Excusez l'analogie crèmeuse. Mais c'est un peu mon impression. Celle-ci mise à part, c'est une initiative qui m'apparaît souhaitable et créatrice de richesse pour le grand Nous, les Québécois.
Un seul vrai bémol, et un gros. Bravo pour l'environnement, bravo pour les ressources naturelles, bravo pour les logements sociaux. Mais l'éducation... Et les services sociaux? Il me semble que le premier article du Plan Nord aurait dû être d'assurer un niveau de service en éducation et en services sociaux aux habitants du Grand Nord équivalent à ceux du sud. Si on se targue que le nord fait partie intégrante du Québec et qu'on s'en enrichie, on devrait TOUT mettre en oeuvre pour que ses habitants aient accès aux mêmes services que nous ici dans le sud. C'est cher? Et alors? Certains habitants ne mériteraient pas d'avoir accès aux mêmes services sous prétexte qu'ils sont loin? Ce n'est pas complètement la juridiction du provincial? Et alors? Avec un plan de cette envergure, ne peut-on pas tout mettre en oeuvre pour tirer sur les bonnes ficelles et "make the things happens", à défaut de mieux le dire en français.
Je ne sais pas exactement ce qu'ils ont dans le nord, ni qui fait quoi. Mais je sais, tout le monde sait, que ce n'est pas l'équivalent d'ici. Il me semble que ça commence par là.
Ce qui est malheureux, c'est que personne n'en parle en ce moment lorsqu'ils commentent le Plan Nord.
PS: Pourquoi faire l'annonce à Lévis au lieu de Chibougameau, Matagami, Radisson ou Kuujuuaq? Drôle de message.
PS2: Est-ce pertinent de faire l'annonce pendant que toute une région a les 2 pieds dans l'eau? Pourquoi annoncer autant de milliards au moment où ils perdent des milliers de dollars? Drôle de message.
Un désastre dans notre cour
Avec beaucoup d'à-propos, mais avec trop d'agressivité selon moi, quelqu'un a écrit une lettre ouverte dans La Presse de ce matin sur l'absence des artistes en réponse aux inondations du Richelieu (par rapport à leur présence pour toutes les désastres qui se passent à l'étranger).
La question vaut la peine d'être posée (et il en va de même pour les politiciens). Mais un ton si acerbe n'était pas nécessaire.
Sa lettre est ici.
La question vaut la peine d'être posée (et il en va de même pour les politiciens). Mais un ton si acerbe n'était pas nécessaire.
Sa lettre est ici.
Le dévouement nécessaire pour être député
Très belle lettre d'Alexandra Mendès dans La Presse ce matin qui répond à André Pratte quant à l'importance du rôle de député et au dévouement que ça requiert. Ici.
dimanche 8 mai 2011
Un édito qui éclaire sur l'étalement urbain
Je m'y connais peu sur le sujet mais cet édito de François Cardinal éclaire assez bien je trouve sur ce qui est souhaitable d'un point de vue régional. Ici.
Je trouve que l'équipe éditoriale de La Presse produit des textes fouillés, variés et sensés. Bravo. Ils abordent souvent des aspects que l'on voit peu dans les articles du jour et ils le font sous un angle toujours intéressant.
Je trouve que l'équipe éditoriale de La Presse produit des textes fouillés, variés et sensés. Bravo. Ils abordent souvent des aspects que l'on voit peu dans les articles du jour et ils le font sous un angle toujours intéressant.
Caricature du Dossier du santé du Québec (DSQ)
Comment faire une caricature d'un projet informatique qui n'en fini plus de ne pas commencer comme du monde...
Chapleau a réussi. Ici.
Chapleau a réussi. Ici.
En train de lire
Wilfrid Laurier, d'André Pratte.
La Presse en parle ici.
Et aussi, sur un autre thème, "La Machine à explorer le Temps" de HG Wells.
La Presse en parle ici.
Et aussi, sur un autre thème, "La Machine à explorer le Temps" de HG Wells.
Lendemain d'élections
Quelques textes intéressants parus dernièrement à propos des candidats et députés du NPD. Je cite ici des textes qui rejoignent ma pensée. Qui se résume ainsi:
-Un vent de fraîcheur et de jeunesse ne pourra pas faire de tort
-Les électeurs ont voté en toute connaissance de cause (merci aux médias d'avoir fouillé un peu le profil des candidats)
-Ne soyons pas condescendant avec les électeurs. Ce ne sont pas des têtes brûlées. Ils savaient ce qu'ils faisaient.
-Tout cela étant dit... ayoye! Est-ce vraiment ce qu'on voulait? Peu importe, il faut en assumer les résultats. Souhaitons leur, à tous les partis, bonne chance pour la suite. Ils en auront tous besoin.
Voici les textes sur lesquels j'ai accroché:
Pas si mal, les «poteaux»!, Lysianne Gagnon, La Presse, 5 mai. Ici.
Ceci n'est pas un poteau, François Cardinal, La Presse, 5 mai. Ici.
Un peu desavoir-vivre, SVP !, Pierre Allard, Le Droit, 6 mai. Ici.
L'erreur des électeurs?, André Pratte, La Presse, 7 mai. Ici.
Et deux autres textes d'André Pratte. Le premier sur le résultat du scrutin. Ici. Le deuxième sur l'élection d'un gouvernement conservateur majoritaire. Ici.
-Un vent de fraîcheur et de jeunesse ne pourra pas faire de tort
-Les électeurs ont voté en toute connaissance de cause (merci aux médias d'avoir fouillé un peu le profil des candidats)
-Ne soyons pas condescendant avec les électeurs. Ce ne sont pas des têtes brûlées. Ils savaient ce qu'ils faisaient.
-Tout cela étant dit... ayoye! Est-ce vraiment ce qu'on voulait? Peu importe, il faut en assumer les résultats. Souhaitons leur, à tous les partis, bonne chance pour la suite. Ils en auront tous besoin.
Voici les textes sur lesquels j'ai accroché:
Pas si mal, les «poteaux»!, Lysianne Gagnon, La Presse, 5 mai. Ici.
Ceci n'est pas un poteau, François Cardinal, La Presse, 5 mai. Ici.
Un peu desavoir-vivre, SVP !, Pierre Allard, Le Droit, 6 mai. Ici.
L'erreur des électeurs?, André Pratte, La Presse, 7 mai. Ici.
Et deux autres textes d'André Pratte. Le premier sur le résultat du scrutin. Ici. Le deuxième sur l'élection d'un gouvernement conservateur majoritaire. Ici.
mardi 3 mai 2011
Sur le métier d'enseignant
Essai intéressant à lire dans L'actualité du 1er mai 2011. Ici.
C'est sur le métier d'enseignant.
Ma piste de solution #1: Valoriser le travail des profs. Valoriser les profs. Être fiers de ce qu'ils font pour nos jeunes. Les rendre fiers de ce qu'ils font.
C'est sur le métier d'enseignant.
Ma piste de solution #1: Valoriser le travail des profs. Valoriser les profs. Être fiers de ce qu'ils font pour nos jeunes. Les rendre fiers de ce qu'ils font.
Sur Ignatieff et les députés du NPD
Je suis triste aujourd'hui. Pas pour la défaite du PLC mais pour la démission d'Ignatieff. C'était mon homme. Je trouvais qu'on avait enfin un politicien qui parlait avec conviction. Qui parlait d'espoir, de démocratie, de valeurs.
Pour plusieurs, le message ne passait pas, malgré une bonne campagne de l'avis de plusieurs. Le Devoir en parlait. Ici.
Je ne sais pas si c'est l'accent, le ton, les sourcils. Mais il y a quelque chose qui empêchait les gens de l'écouter vraiment. Pour moi, il a été une véritable révélation et il m'a rallié. Je le trouvais inspirant. Oui, tant que ça.
Peut-être que le PLC n'aurait jamais rien gagné avec lui. C'est une bonne raison pour le remplacer, j'en conviens. Mais pour ce que j'en sais, ou plutôt ce qu'en pense, il aurait été dirigé par un leader rassembleur et intelligent.
Sur le même thème des élections d'hier. Je n'ai rien contre le fait que le NPD ait fait élire des "poteaux". Ils ne seront pas tous bon. En cela, ce n'est pas différent des autres parties. Mais ils vont certainement secouer un peu les puces de l'establishment. Et n'oublions pas, il n'y a pas que des poteaux. Il y en a des très bons.
Mais soyons francs, ça ne peut pas faire de tort.
Et à ceux qui n'en reviennent pas aujourd'hui et bien il faut se rappeler qu'ils n'ont pas voler leur siège, ils ont été élus par des gens qui plus souvent qu'autrement étaient au courant de leur âge ou de leurs vacances à Vegas. Les médias en ont beaucoup parlé.
Maintenant, il faut vivre avec nos choix et souhaiter que ça rebrasse un peu les cartes de la joute politique.
Bonne chance à tous les députés. Vous avez notre confiance. Ne nous décevez pas.
Pour plusieurs, le message ne passait pas, malgré une bonne campagne de l'avis de plusieurs. Le Devoir en parlait. Ici.
Je ne sais pas si c'est l'accent, le ton, les sourcils. Mais il y a quelque chose qui empêchait les gens de l'écouter vraiment. Pour moi, il a été une véritable révélation et il m'a rallié. Je le trouvais inspirant. Oui, tant que ça.
Peut-être que le PLC n'aurait jamais rien gagné avec lui. C'est une bonne raison pour le remplacer, j'en conviens. Mais pour ce que j'en sais, ou plutôt ce qu'en pense, il aurait été dirigé par un leader rassembleur et intelligent.
Sur le même thème des élections d'hier. Je n'ai rien contre le fait que le NPD ait fait élire des "poteaux". Ils ne seront pas tous bon. En cela, ce n'est pas différent des autres parties. Mais ils vont certainement secouer un peu les puces de l'establishment. Et n'oublions pas, il n'y a pas que des poteaux. Il y en a des très bons.
Mais soyons francs, ça ne peut pas faire de tort.
Et à ceux qui n'en reviennent pas aujourd'hui et bien il faut se rappeler qu'ils n'ont pas voler leur siège, ils ont été élus par des gens qui plus souvent qu'autrement étaient au courant de leur âge ou de leurs vacances à Vegas. Les médias en ont beaucoup parlé.
Maintenant, il faut vivre avec nos choix et souhaiter que ça rebrasse un peu les cartes de la joute politique.
Bonne chance à tous les députés. Vous avez notre confiance. Ne nous décevez pas.
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